Abstracts
Abstract
This essay is about the realization of power's proximity, and about how, once taken seriously, power forces us (1) to disband the outmoded notion of representing a generalized Other, and (2) abandon the Other's co-ordinate, subjective political agency. A tentative premise describes how the proximity of power — its stickiness — forces us to seek more politically informed notions about otherness and identity than could previously be thought. Upon that basis, an argument is built on behalf of a politics that attempts to exceed subjective agency by abandoning identity to politics, rather than abandoning politics to identity. Althusser, Foucault, West, Mudimbe, and Trin Minh-ha are brought into the discussion.
Résumé
Notre texte porte sur la prise de conscience de la proximité du pouvoir, et la façon dont, une fois pris au sérieux, le pouvoir nous oblige à 1) rejeter le mode périmé de représentation de l’Autre comme une entité généralisée, et 2) abandonner son corrélat, le sujet-agent politique. Une prémisse provisoire montre comment la proximité du pouvoir — son ubiquité — nous oblige à chercher des notions d’altérité et d’identité qui soient politiquement mieux informées que celles qui circulent actuellement. Sur cette base, nous argumentons en faveur d’une politique qui vise à dépasser la notion de sujet-agent en abandonnant l’identité à la politique, plutôt que la politique à l’identité. Sont mis à contribution les travaux d’Althusser, Foucault, Minh-ha, Mudimbe, et West.