Dossier. Fidélité à plus d’un : Derrida, Celan, Brenner, Cixous, Blanchot

Une consolation qui n’attend rien Être sans destin, d’Imre Kertész, Traduit du hongrois par Natalia et Charles Zaremba, Actes Sud, 366 p. Kaddish pour l’enfant qui ne naîtra pas, d’Imre Kertész, Traduit du hongrois par Natalia et Charles Zaremba, Actes Sud, 157 p. Un autre, chronique d’une métamorphose, d’Imre Kertész, Traduit du hongrois par Natalia et Charles Zaremba, Actes Sud, 150 p.[Record]

  • François Gonin