Abstracts
Abstract
In the 1980’s Canada’s nuclear technology company, Atomic Energy Canada Limited (AECL), designed and attempted to sell a next-generation, small-scale nuclear reactor called the Slowpoke Energy System (SES). AECL pursued export markets for the SES, of which the most promising was South Korea. The SES project was forced to compete for funding and this necessitated the formation of partnerships with private and public sector agents in South Korea. AECL’s experience in South Korea suggests that crown corporations are more commercially oriented than established policy scholarship admits, and that in some cases competitive forces work to blunt innovation rather than reward it.
Résumé
Dans les années 1980, la société canadienne de technologie nucléaire, Énergie atomique du Canada limitée (EACL), conçoit et tente de mettre en marché une nouvelle génération de réacteur nucléaire de petite dimension appelée Slowpoke Energy System (SES). EACL cherche des marchés où exporter le SES, et entrevoit des avenues prometteuses en Corée du Sud. Le projet SES doit toutefois compétitionner pour le financement, ce qui nécessite la formation de partenariats avec des agents des secteurs privés et publics de la Corée du Sud. L’expérience d’EACL en Corée du Sud suggère que les sociétés de la couronne sont plus orientées vers le commerce que ne l’admet généralement la recherche académique sur les politiques d’État, et que dans certains cas, les forces de la compétition contribuent davantage à émousser l’innovation plutôt qu’à la récompenser.