Abstracts
Abstract
In this inaugural address, we will concentrate on the status and role of the good. The good is said in many ways just as “being” is. It is neither univocal nor purely equivocal but analogous, with a primary meaning to which all other meanings ultimately refer, taken from substance. And speaking of God, he is seen as the ultimate cause of motion through books seven and eight of Aristotle’s Physics; as first intelligible in Lambda 7 and 9; and as the primary good in this chapter 10. Now the good in that sense is the ultimate telos – the end – of everything, drawing everything to itself.
Résumé
Ce discours d’ouverture portera sur le statut et le rôle du bien. Comme l’être, le bien se dit de multiples façons. Il n’est pas univoque ni totalement équivoque, mais se dit de manière analogique, comportant une signification première à laquelle se réfèrent ultimement toutes les autres, dérivée de la substance. À propos de Dieu, il est donné à titre de cause dernière du mouvement aux livres sept et huit de la Physique d’Aristote ; comme premier intelligible en Lambda 7 et 9 ; et en tant que bien fondamental au chapitre 10. C’est en ce sens que le bien est le telos – la fin – ultime de tout, attirant tout à lui.