Abstracts
Résumé
Trois mariages sur quatre sont encore célébrés, en 1985, devant un ministre du culte, le plus souvent un prêtre catholique. Le mariage religieux est moins fréquent chez les plus âgés et chez les francophones, ce qui est surtout attribuable au refus de l'Église catholique de célébrer des remariages de divorcés. Le concubinage, par contre, qui semble un phénomène surtout de jeunes, ne semble pas un frein au choix du mariage religieux. Les jeunes francophones optent pour le mariage religieux à plus de 85%. Est-ce le signe d'une conviction profonde, ou plutôt d'une recherche de sécurité quant à la durée, en réaction au phénomène du divorce?
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