Abstracts
Abstract
Yale Osborn MS. b 197 includes a neglected witness, one of six, to George Herbert’s “Aethiopissa ambit Cestum Diuersi Coloris Virum,” followed by the only known copy of a twenty-two-line reply, “Cesti ad Aethiopissam Responsio.” This latter cannot be said with any certainty to be Herbert’s; it is nevertheless a fascinating rejoinder to perhaps the most un-Herbertian of his poems. This paper provides edited texts, original translations, and apparatus; a description of the manuscript; and consideration of arguments for and against attributing the new poem to Herbert.
Résumé
Le manuscrit conservé sous la cote Yale Osborn MS. b 197 contient un témoin peu étudié, l’un de six, de l’« Aethiopissa ambit Cestum Diuersi Coloris Virum » de George Herbert, suivi de la seule copie connue d’une réponse de vingt-deux lignes, « Cesti ad Aethiopissam Responsio ». Si cette dernière ne peut être considérée avec certitude comme étant de Herbert, elle constitue néanmoins une réplique fascinante au poème, peut-être le moins herbertien de cet auteur. Cet article fournit une édition de ces textes et leur traduction, avec apparat critique. Il comprend également une description du manuscrit et une réflexion sur les arguments en faveur et à l’encontre de l’attribution du nouveau poème à Herbert.
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