Abstracts
Abstract
In the three decades since the rise of New Historicism, Renaissance studies has progressed through extensions of scholars’ archival reach to new objects for new interpretations. The future will bring expansions on a larger scale, like those we now witness in English print archives. Machine-readable transcriptions of some fifty thousand texts now enable scholars to use algorithms that tell us things about them that are true, yet can only be known in the future. This is an argument not for an algorithmic criticism but for an augmented criticism, in which human judgments are the origin and outcome of algorithmic research methods. It sketches the emergent methods that are possible only in 2015, yet will do for the archival humanities what telescopes did for astronomy.
Résumé
Durant les trois décennies qui ont suivi l’émergence de la nouvelle histoire, les études de la Renaissance ont développé grâce à un travail approfondi d’archives de nouvelles données à interpréter. Des développements similaires de plus grande ampleur nous attendent, tels que ceux que nous observons dans l’étude des archives imprimées anglaises. Des transcriptions pouvant être analysées par des logiciels permettent maintenant aux chercheurs d’utiliser des algorithmes révélant de nouveaux faits réels, et pourtant inaccessibles avant aujourd’hui. Il s’agit d’un argument non pas en faveur de la critique algorithmique, mais en faveur d’une critique plus vigilante, assurant que le jugement humain est bien au centre des hypothèses et des résultats des méthodes de recherche algorithmique. Cet article fait un portrait des méthodes émergentes qui ne sont possibles qu’en 2015, et qui pourraient avoir le même effet que le télescope pour l’astronomie.
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