Abstracts
Résumé
Célèbre chef-opérateur de la « nouvelle vague », photographe et réalisateur, Raoul Coutard évoque, au milieu d’anecdotes sur des « films-cultes » du cinéma – Le Mépris, À bout de souffle,Alphaville ou Tirez sur le pianiste –, son travail d’éclairagiste, en particulier les contraintes techniques, chimiques rencontrées lors des tournages. Une discussion fort technique qui indique, au-delà des manques du langage de la lumière patents lors des tournages, combien les contraintes matérielles sont génératrices d’effets lumineux signifiants et admirables pour leurs spectateurs.
Abstract
Among numerous anecdotes about what represents for us cult films like Le Mépris, À bout de souffle, Alphaville and Tirez sur le pianiste, Raoul Coutard – famous chief-operator of the “ nouvelle vague ”, photographer and director – evokes his work as a lighting engineer, and more particularly the technical and chemical constraints encountered during shooting. This highly technical discussion points to, beyond the obvious limitations of the language to account for the light during shooting, how much the material constraints are generating meaningful and admirable luminous effects for their spectators.