Abstracts
Abstract
While there are many ghost towns scattered across Ontario, the history of Happy Valley, located in the Sudbury area, is unique. For decades, this hamlet of about one hundred people suffered from air pollution produced by the nearby operations of Falconbridge Nickel Mines Limited (FNM). After years of pressure to do something about this situation, in the early 1970s the Ontario government facilitated the abandonment of Happy Valley in cooperation with the Regional Municipality of Sudbury and FNM. The controversial decision made headlines; it was the first instance in which the provincial government financed the relocation of an entire community because of air pollution. This article highlights how all of these factors shaped the Happy Valley affair and demonstrates how the government’s resolution was justified given the circumstances.
Résumé
Bien qu’il existe de nombreuses villes fantômes disséminées en Ontario, l’histoire de Happy Valley, située dans la région de Sudbury, est unique. Pendant des décennies, ce hameau d’une centaine de personnes a souffert de la pollution de l’air produite par les activités industrielles avoisinantes de Falconbridge Nickel Mines Limited (FNM). Après des années de pression pour remédier à cette situation, au début des années soixante-dix, le gouvernement de l’Ontario a facilité l’abandon de Happy Valley en collaboration avec la municipalité régionale de Sudbury et FNM. Cette décision controversée a fait les manchettes; c’était le premier cas où le gouvernement provincial a financé le déménagement d’une communauté à cause de la pollution atmosphérique. Dans l’article qui suit, nous mettrons en lumière la manière dont tous ces facteurs ont façonné l’affaire Happy Valley et nous démontrerons que la décision du gouvernement était justifiée étant donné les circonstances.
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Appendices
Biographical note
Scott Miller is a historian from Sudbury, Ontario.