Abstracts
Abstract
When his 1837 Upper Canada Rebellion came to a sudden end with the routing of rebels at Montgomery’s Tavern on 7 December, William Lyon Mackenzie was forced to run for his life. With a price on his head, travelling mostly by night—west toward the Niagara Escarpment, south around the end of Lake Ontario and then east across the Niagara peninsula—the rebel leader made his way from a village north of Toronto to safety across the Niagara River in the United States. His journey of more than 150 miles took five days ( four nights) on foot, on horseback, and on wagon or sleigh, was aided by more than thirty different individuals and families. At great personal risk, they fed him, nursed him, hid him, advised him, accompanied him. This article maps Mackenzie’s exact route, identifies those who helped him, and reflects on the natural hazards and human perils he encountered.
Résumé
William Lyon Mackenzie a dû fuir lorsque sa révolte s’était terminée par la défaite des rebelles près de la Taverne Montgomery le 7 décembre 1837. Avec sa tête mise à prix, il a été forcé de se déplacer surtout la nuit – à l’Ouest vers l’escarpement du Niagara, au Sud autour du bout du lac Ontario et à l’Est à travers la péninsule du Niagara. En partant d’un village au Nord de Toronto, le chef rebelle s’est frayé un chemin vers la sécurité de l’autre bord de la rivière du Niagara aux États-Unis. Son parcours de plus de 150 miles dura cinq jours (quatre nuits) à pied, à cheval, dans un wagon ou sur un traîneau et fut aidé par plus de trente individus et familles qui l’ont nourri, secouru, caché, conseillé et accompagné dans sa fuite. Dans cet article nous allons retracer le plan exact du chemin de Mackenzie, identifier ceux qui l’ont aidé et nous pencher sur les aléas de son voyage.
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