Abstracts
Résumé
Constatant que l’interprétation officielle d’un site historique naturel, soit le Toronto Carrying Place Trail, ne tient pas compte de son évolution après les XVIIe et XVIIIe siècles, Diane Boyer propose une réflexion sur les possibilités d’y rattacher une part d’histoire plus récente, marquée notamment par l’industrialisation et l’immigration. Pour ce faire, l’auteure réfléchit aux possibilités qu’offre la nouvelle muséologie, en particulier l’approche communautaire et inclusive de Georges-Henri Rivière, dans l’actualisation et l’appropriation d’un lieu en mutation.