Abstracts
Résumé
Dasgupta semble venir au secours des traducteurs, en leur proposant une issue à leur dilemme : emprunter la pragmatique (linguistique) pour se créer un créneau digne de respect et de reconnaissance académique et scientifique. Non, merci, dirait un traducteur. Je l'ai déjà mon créneau : ne me dites pas comment réfléchir pour moi-même ! L'appel du « linguiste » au traducteur de se doter d'une compétence en linguistique et non pas d'une compétence linguistique, afin de maîtriser l'outil scientifique de formulation théorique, est un « coup bas » académique ou du moins un manque de compréhension ou d'appréciation de ce que sont la traduction et les théories qui sont à la base de sa pratique actuelle.