Abstracts
Abstract
What I’m suggesting is that the model for Descartes’s defence of Renaissance science would be Aquinas’s own defence of thirteenth-century Aristotelian science, except that the coherence of the will took on the role of the consistency of concepts, as the controlling factor in the analyses of all types of science. As a result, the new science would incorporate the awareness of Platonic ideas and the divisibility of Euclidean space as equally valid input into a dialectical knowledge of sensory experience. You can read the early arguments to doubt the reality of sensory experience and reason as a way of dividing out the experience of the will in affirming or denying an object’s nature, as the subject for subsequent inquiry.
Résumé
Je suggère dans cet article que le modèle de la défense par Descartes de la science de la Renaissance pourrait être celui par Thomas d’Aquin de la science « aristotélicienne » du treizième siècle, n’était le fait que c’est la cohérence de la volonté qui prit en charge chez Descartes le rôle de la consistance des concepts comme facteur contrôlant dans les analyses de tous les types de science. En conséquence, la science nouvelle pouvait intégrer la conscience des idées platoniciennes et la divisibilité de l’espace euclidien comme un apport tout aussi valide dans la connaissance dialectique de l’expérience sensorielle. On peut interpréter les premiers arguments invitant à douter de la réalité de l’expérience sensorielle et de la raison comme une façon de scinder l’expérience de la volonté dans l’affirmation et la négation de la nature d’un objet, ce qui sera le sujet d’une enquête ultérieure.