Abstracts
Abstract
Biography has been for the last fifty years the stepchild of history. Drawing on the author’s personal experience as a biographer and a reader of biographies, the article considers the reasons why most historians avoid biography, examines the three unproductive forms of the genre or “no gos” to be avoided by would-be biographers, discusses the five caveats that should guide those writing biographies, and indicates the ways in which biography can be employed to advance our understanding of the past. Despite being a genre abounding in problems, biography is both viable and valuable, a useful but not a major weapon in the historian’s arsenal.
Résumé
Depuis un demi-siècle, la biographie est l’enfant pauvre de l’histoire. L’auteur, puisant dans son expérience personnelle à titre de biographe et de lecteur de biographies, étudie ici les raisons pour lesquelles la plupart des historiens évitent ce genre historique. Il en analyse les trois formes stériles (ou embûches à éviter), énonce cinq bémols qui doivent guider les aspirants biographes et indique les façons dont la biographie peut servir à faire avancer nos connaissances sur le passé. En définitive, malgré ses nombreux écueils, la biographie est à la fois viable et valable; c’est un outil utile, mais pas de la plus grande envergure, dans la trousse de l’historien.