Abstracts
Abstract
The historical displacement of indigenous and non-Native people from national parks and nature preserves has often been analyzed as a deliberate imposition of state authority over local people living in rural and hinterland regions. The cases of Point Pelee and Georgian Bay Islands National Parks indicate that local people had considerable influence over the siting and management policies applied to parks and protected areas in the early twentieth century. Although the federal government did attempt to either expel or severely curtail the wildlife harvesting activities of Aboriginals and non-Aboriginals living within the national parks during this period, such policies were often the result of lobbying from local conservation groups intent on saving threatened wildlife populations or business promoters hoping to stimulate the local tourist economy through the creation of a public pleasuring ground. This paper argues that the management frameworks governing Point Pelee and Georgian Bay Islands National Parks were not the product of narrow state interests, but of a much broader policy community composed of local and state actors hoping to shape the park environments to suit their own political priorities.
Résumé
Souvent, le déplacement historique du peuple autochtone et non amérindien des parcs nationaux et des zones de conservation naturelles était analysé comme une imposition délibérée de l’autorité de l’état sur le peuple régionale vivant dans des régions rurales et d’hinterland. Durant le tôt vingtième siècle, les cas du Point Pelée et des parcs nationaux des îles de la baie Géorgienne indiquaient que le peuple régional avait une influence considérable sur les politiques d'emplacement ainsi que la gestion des parcs et des sites protégés. Pendant cette période, le gouvernement fédéral avait essayé d’expulser ou de sévèrement raccourcir la récolte de la faune par les aborigènes et les non aborigènes vivant dans les parcs nationaux. Souvent, ces politiques étaient le résultat d’incitations des groupes locaux de conservation avec l’intention de sauver les populations de faune ou par les promoteurs d’entreprise espérant de stimuler l'économie de tourisme locale par la création d'une terre publique plaisante. Cet article soutient que les cadres de gestion gouvernant le Point Pelée et les parcs nationaux des îles de la baie Géorgienne n'étaient pas le produit d'intérêts étroits de l'état, mais plutôt d'une politique communautaire beaucoup plus large composée des protagonistes locaux et de l’état espérant de former un environnement dans les parcs convenant à leurs propres priorités politiques.