Abstracts
Résumé
Le passage du Moderne à la surmodernité de la révolution informatique sanctionne un déplacement graduel des catégories du visible, de la permanence et de la prévision vers celles de la transparence, de la légèreté et de la virtualité produites dans un contexte de fluidité provisoire. Le passage de l’éden électrique du Moderne à l’éden électronique du contemporain trace le contour de quatre thèmes qui configurent à leur tour autant d’images de la ville : la ville opalescente, la ville médiale, la ville évanescente et la ville relationnelle. Dans l’ensemble, ces représentations de la ville tendent à une légèreté commune.
Abstract
The passage from Modernity to the Supermodernity of the computer revolution sanctions a gradual shift from the categories of the visible, permanance and forecasting to those of transparence, lightness and virtuality produced within the context of a temporary flux. The passage from the electrical Eden of the Modern to the electronic Eden of the contemporary draws the lines of four themes that configure images of the city: the opalescent city, the medial city, the evanescent city and the relational city. Overall, these representations of the city tend towards a common lightness.