Abstracts
Abstract
Here the author considers the possibility that aesthetic objects — stories, narratives, and other similar cognitive structures — verlay and disguise human experience in a manner that is only revealed during the peculiar distortions of play. Working from the notion of human play as an anti-aesthetic form, the author examines playful destructions in film — Groundhog Day (1993), Lola rennt (1998), and Memento (2000)—and other media forms that serve to undermine conventional time and space, and, during that process, reveal the fundamental mechanics of human experience and creation of self.
Résumé
L’auteur considère ici la possibilité que les objets esthétiques — histoires, narrations, et autres structures cognitives semblables — recouvrent et déguisent l’expérience humaine de telle sorte qu’elle ne peut se révéler qu’à la faveur de certaines distorsions particulières du jeu. Travaillant à partir de la notion du jeu humain comme forme anti-esthétique, l’auteur examine des destructions ludiques au cinéma — Groundhog Day (1993), Lola rennt (1998), et Memento (2000) —, ainsi que dans d’autres formes médiatiques qui servent à ébranler le temps et l’espace conventionnels et qui, pendant ce processus, révèlent les mécanismes fondamentaux de l’expérience humaine et de la formation du moi.
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