Abstracts
Abstract
This essay reads accounts of travel to Niagara from the 1790s-1840s through thelens of the sublime and the picturesque. Beginning with masculine adventurers whohave special claims to the Burkean sublime, and moving onto later male and femaletravellers who master their feelings of weakness and irrationality through a moreKantian-based approach to reasoning, the essay ultimately isolates the criticalstage in sublime logic when incomprehension diverts to meaning and presents thisbreaking through as a discursive strategy the author calls "the anti-sublime."
Résumé
Dans cet essai, l’auteure examine des récits de voyages à Niagara desannées 1790 aux années 1840 sous l’angle du sublime et du pittoresque. Ellecommence par évoquer les aventuriers de sexe masculin se réclamant du sublimeburkien, pour s’intéresser ensuite aux voyageurs, hommes et femmes, quimaîtrisent leurs sentiments de faiblesse et d’irrationalité en adoptant unedémarche argumentative plus kantienne. Pour finir, elle isole l’étapecruciale de la logique du sublime, où l’on chemine du non-sens vers le sens,cette percée se présentant sous forme de stratégie discursive qu’elle nomme« l’anti-sublime ».