Abstracts
Résumé
Comme quoi « le cinéma de Jean Anouilh » n’est pas une affaire simple. À côté de films qu’il a signés, écrits entièrement, et dont on aimerait voir les textes publiés (comme ceux de Giraudoux), il a participé, de près, d’un peu plus loin, adaptant ici, rajoutant là une séquence, un dialogue (comme Marcel Aymé), à nombre de films qui ne sont pas entièrement de lui, mais où il est présent, malgré tout, et qui portent sa griffe.
Nous n’avons pas parlé de La citadelle du silence (L’herbier, 1937), auquel Anouilh aurait participé, ni de Piège pour Cendrillon, ni du mystérieux Temps de l’amour. D’ici quelques années, ils auront sans doute refait surface, et réservent peut-être des surprises. Le cinéma de Jean Anouilh est encore un domaine à explorer...
Abstract
Jean Anouilh’s cinematic output is not easy to figure out. In addition to those movies he scripted in full and whose text one would love to see published, much like Giraudoux’s, he was involved in adapting or contributing some or many scenes or dialogues to a number of other movies. While these other productions were not his, he still manages to shine through. Let us not forget La citadelle du silence (Lherbier, 1937), which involved Anouilh’s participation, nor Piège pour Cendrillon or the haunting Temps de l’amour. These will probably resurface in a few years, and yield their share of discoveries. Indeed, there remains much to explore in Jean Anouilh’ cinema.