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I. Oeuvres de Maylis de Kerangal (2000-2021)
I.1 Romans et récits
Je marche sous un ciel de traîne, Paris, Verticales, 2000, 222 p.
La vie voyageuse, Paris, Verticales, 2003, 157 p.
La rue, Paris, Terrail, 2005, « 2000 ans d’images », 92 p.
Dans les rapides, Paris, Naïve, 2007, 112 p. [Paris, Gallimard, « Folio », 2014].
Ni fleurs ni couronnes, suivi de Sous la cendre, Paris, Verticales-Phase deux, « Minimales », 2006, 135 p. [Paris, Gallimard, « Folio », 2021].
Corniche Kennedy, Paris, Verticales-Phase deux, 2008, 177 p. [Paris, Gallimard, « Folio », 2010].
Naissance d’un pont, Paris, Verticales, 2010, 316 p. [Paris, Gallimard, « Folio », 2011].
Tangente vers l’est, Paris, Verticales, « Minimales », 2011, 127 p.
Réparer les vivants, Paris, Verticales, 2014, 280 p. [Paris, Gallimard, « Folio », 2015].
À ce stade de la nuit, [Chamonix], Guérin / Fondation FACIM [Fondation pour l’action culturelle internationale en montagne], 2014, « Paysages écrits », 78 p.
Réédition, Paris, Verticales, « Minimales », 2015, 73 p.
Un chemin de tables, Paris, Seuil, « Raconter la vie », 2016, 101 p. [Paris, Gallimard, « Folio », 2019].
Un monde à portée de main, Paris, Verticales, 2018, 284 p. [Paris, Gallimard, « Folio », 2020].
Kiruna, Lille, la Contre Allée, « Les périphéries », 2019, 146 p.
Chromes, Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, éditions de l’IMEC, « Diaporama », 2020, 37 p.
Canoës, Paris, Gallimard, « Verticales », 2021, 176 p.
I.2 Nouvelles
« Nadia [Comaneci] et moi », dans Nouvelles du Havre, Fécamp, éd. des Falaises, « Cappucinos », 2002, p. 85-103.
« Critérium du premier jour », dans Des nouvelles de La Fontaine, Paris, Gallimard, 2007, p. 253-266.
« Coeur de nageur pour corps de femme compatible », dans Qui est vivant ?, Paris, Verticales, 2007, p. 88-95.
Ouvrage collectif paru hors commerce pour célébrer les dix ans de la maison d’édition Verticales. Cette courte nouvelle constitue la première idée de Réparer les vivants.
« “Los Angeles ou Las Vegas”, une nouvelle de Maylis de Kerangal, suivie d’une proposition cinématographique de Melvil Poupaud », dans Sacha Lenoir, Nantes, Capricci, 2011, t. I, 58 p.
« Parabole du miroir », dans Le ciel vu de la Terre, t. I : Figures du ciel. Textes, Paris, Inculte, 2011, p. 211-222.
« Les Fervents », dans Le Roman-feuilleton. Les Mystères de la capitale. Marseille et le territoire, photographies de Renaud Marco, Marseille, le Bec en l’air, 2013, p. 6-17.
Recueil de textes de quatorze auteurs ayant séjourné en résidence à Marseille et en Provence en 2013.
Ariane espace, Paris, Gallimard, « Le chemin » no 16, 2020.
Ebook « offert en période de confinement (4 mai 2020) ». Nouvelle recueillie dans Canoës, p. 161-168.
« Ruisseau et limaille de fer », Le Monde, 2 août 2020.
« Nouvelle inédite » parue dans la série « Féminines », recueillie dans Canoës, p. 21-30.
« Un oiseau léger », Sensibilités. Histoire, critique et sciences sociales, no 8 (« Et nos morts ? », dir. Anouche Kunth, Stéphanie Sauget et Clémentine Vidal-Naquet), novembre 2020, p. 153-161.
Nouvelle recueillie dans Canoës, p. 117-127.
I.3 Livres en collaboration
La peau d’une fille qui rentre de la plage, peintures de Robin Goldring, Paris, Prodomus, 2006, 31 p.
Une chic fille, par le Collectif Inculte, Paris, Naïve, « Naïve fictions », 2008, 173 p.
François Bégaudeau, Arno Bertina, Hélène Gaudy, Marie Hermann, Maylis de Kerangal, Mathieu Larnaudie, Julien Morello, Christophe Paviot, Nicolas Richard, Oliver Rohe, Jérôme Schmidt, Joy Sorman et Xavier Tresvaux ont participé à l’écriture de ce livre.
Pierre feuille ciseaux, photographies de Benoît Grimbert, Marseille, le Bec en l’air, 2012, 85 p.
Villes éteintes, textes de Maylis de Kerangal et de Jean-Pierre Luminet, photographies de Thierry Cohen, Paris, Marval, 2012, 96 p. [non paginé].
Volta, préface de Maylis de Kerangal, photographies de Gabrielle Duplantier, [Marcillac-Vallon], Lamaindonne, 2014, 126 p. [non paginé].
Tous les marins ont les yeux bleus, photographies de Maud Bernos, Paris, Gallimard, 2015, 122 p.
I.4 Livres jeunesse
Nina et les oreillers, illustrations d’Alexandra Pichard, Paris, Hélium, 2011, 27 p. [non paginé].
Hors-pistes, illustrations de Tom Haugomat, Paris, Thierry Magnier / Jeanne Robillard Galerie, « Les décadrés », 2014, 32 p. [non paginé].
I.5 Direction d’ouvrage collectif
Maylis de Kerangal et Joy Sorman (dir.), Femmes et sport. Regards sur les athlètes, les supportrices et les autres, Paris, Hélium, 2009, 153 p.
Sept textes de Maylis de Kerangal : « Cette femme qui court [sur la « féminisation du sport »] » (avec Joy Sorman), p. 9-12 ; « De quoi Nadia Comaneci est-il le nom », p. 26-29 ; « Larmes révolutionnaires [les affects des athlètes et leur réception sociale] », p. 39-40 ; « Soccer girls », p. 49-51 ; « Sam[antha Davies] passe le Horn », p. 73-75 ; « Épée moderne [Laura Flessel] », p. 111-112 ; « Emmanuelle 98 [les Françaises et la coupe du monde de football] » (avec Joy Sorman), p. 139-140.
I.6 Contributions à des ouvrages collectifs
[Six textes] dans François Bégaudeau et Xavier de La Porte (dir.), Le sport par les gestes, Paris, Calmann-Lévy, 2007.
« L’amortie, nom masculin », p. 45-47 ; « Le lancer de poids », p. 76-78 ; « La fente », p. 85-87 ; « Le triple saut », p. 90-92 ; « Le fosbury », p. 135-137 ; « Le saut de l’ange de Nadia Comaneci », p. 150-152.
« La Centrifugeuse, Le Papier tue-mouche et L’Écumoire », dans Collectif Inculte, Devenirs du roman, Paris, Naïve, « Inculte Naïve », 2007, p. 145-151.
[Six textes] dans François Bégaudeau (dir.), La politique par le sport, Denoël, « Médiations », 2009.
« Le trompe-l’oeil de Berlin [Jesse Owens] », p. 24-25 ; « Le Puma est socialiste [équipe d’Argentine de rugby] », p. 32-34 ; « [Mohamed] Ali fourre son nez dans le débat », p. 47-49 ; « George Bush à la pêche aux voix républicaines », p. 64-66 ; « L’important c’est de représenter [Laure Manaudou] », p. 98-100 ; « Le golf est-il vraiment de droite ? », p. 148-149.
« Langues animales », dans Matteo Majonaro (dir.), Écrire le fiel, Bari, B. A. Graphis, « Marges critiques », 2010, p. 5-11.
À propos de l’« écriture de la colère » chez Grisélidis Réal (Le noir est une couleur, La passe imaginaire, Suis-je encore vivante ?) et Éric Chevillard (Démolir Nisard).
« Entretien avec Jean-Pierre Luminet », dans Le ciel vu de la Terre, t. II : Approches du ciel. Rencontres, Paris, Inculte, 2011, p. 71-93.
« Feu Marilyn », dans Françoise-Marie Santucci avec Élisabeth Franck-Dumas (dir.), Monroerama, Paris, Stock, 2012, p. 232-239.
Sur la soirée anniversaire de John F. Kennedy au Madison Square Garden (19 mai 1962).
« À la rue », dans J’ai vingt ans qu’est-ce qui m’attend ?, Paris, Théâtre ouvert, « Enjeux », 2012, p. 17-42.
Texte de théâtre. Première représentation à Chambéry le 9 octobre 2012. – Le volume contient en outre un « Entretien avec François Bégaudeau, Arnaud Cathrine, Maylis de Kerangal et Joy Sorman par Micheline Attoun et Lucien Attoun » (18 juin 2012), p. 143-156.
« Chasseur-cueilleur : une expérience du tâtonnement », dans Collectif Inculte, Devenirs du roman. 2. Écritures et matériaux, Paris, Inculte, 2014, p. 167-175.
« Anonymes », dans Pour que droits et dignité ne s’arrêtent pas au pied des murs, Paris, Seuil, 2021, p. 73-76.
Ouvrage collectif publié en soutien à l’Observatoire international des prisons.
I.7 Préfaces
« Thérèse Raquin : une fable noire », préface à Thérèse Raquin, suivi de Un mariage d’amour par Émile Zola, édition annotée et commentée par Laurence Rauline, Paris, Hatier, « Classiques & Cie. Lycée », 2011, p. 5-6.
« Ainsi vont les choses », préface à Abattoir 5 [Slaughterhouse-Five, 1969] par Kurt Vonnegut, traduit de l’anglais par Lucienne Lotringer, Paris, Seuil, « Points », 2016, p. I-VI.
« Préface. Deux chercheuses sur le chemin des métamorphoses », préface à Natasha Myers et Carla Hustak, Le ravissement de Darwin. Le langage des plantes, trad. de l’anglais par Philippe Pignarre, Paris, La Découverte, « Les empêcheurs de penser en rond », 2020, p. 5-19 [en collaboration avec Vinciane Despret].
I.8 Articles
« Commentaire injouable », Inculte, numéro hors-série « Spécial coupe du monde 2006 », mai 2006, p. 9-14.
« Look John ! », Minimum Rock’n’Roll, no 5 (« Binocles, oeil de biche & verres fumés. Rock & Lunettes »), juillet 2008, p. 18-20.
« La statue de Danton fait tourner le monde », Décapage, no 35, juin-août 2008, p. 69-73.
« Sur Outrance Utterance de Dominique Fourcade », Inculte, no 15 (« Poésie contemporaine »), mars 2008, p. 64-73.
« L’expérience du sous-marin », Inculte, no 16 (« L’enfermement [ou comment en sortir] »), novembre 2008, p. 65-71.
« Sur la piste [Maylis de Kerangal répond à Eugène Dabit] », La Nouvelle Revue française, no 588, février 2009, p. 270-273.
« O. J. Simpson, 1995 », Inculte, no 17 (« En procès »), mars 2009, p. 63-71.
« Contre-Vénus », Inculte, no 19 (« Le cul »), mai 2010, p. 31-35.
« Notre sélection », Inculte, no 20 (« L’alcool »), janvier 2011, p. 20-23.
« L’enfant dehors », Le Magazine littéraire, no 506, mars 2011, p. 96-97.
« Dalva, la femme Amérique [Jim Harrison] », M le Mensuel, avril 2011.
Republié sous le titre « Jim Harrison lu par Maylis de Kerangal », Le Monde, 30 mars 2016 (lemonde.fr/livres/article/2016/03/30/jim-harrison-lu-par-maylis-de-kerangal_4892531_3260.html).
« La cache et le tabernacle », Revue André Malraux Review, no 39, 2012, p. 8-13.
« Les trois braqueuses [Emmeline Ndongue, Endéné Miyem, Céline Dumerc] », Desports. Le premier magazine de sport à lire avec un marque-page, no 1, janvier 2013, p. 66-71.
« Maylis de Kerangal par elle-même », Décapage, no 53, été-automne 2015, p. 79-119.
« Entre ciel et mer », Philosophie magazine, no 101 (« L’instant présent »), juillet-août 2016, p. 58-59.
« Une histoire en deux temps », Cahiers Claude Simon, no 11 (« Relire L’acacia »), 2016, p. 297-298.
« Présentation », Carnets de Chaminadour, no 11 (« Maylis de Kerangal sur les grands chemins de Claude Simon »), 2016, p. 9.
« Épaulements de Claude Simon », Carnets de Chaminadour, no 11 (« Maylis de Kerangal sur les grands chemins de Claude Simon »), 2016, p. 37-40.
« Sous le signe du renard », Cahiers de l’Herne, no 120 (« Pierre Michon »), 2017, p. 204-206.
« Fictions du réel et réalité de la fiction », 14 décembre 2017.
Texte d’une conférence prononcée dans le cadre des « Rencontres littéraires » de la Bergische Universität Wuppertal, p. 1-13, suivi d’une « discussion avec l’auteure », p. 13-19 (romanistik.uni-wuppertal.de/fileadmin/romanistik/Rencontres_littéraires/Maylis_de_Kerangal/Conférence_avec_Maylis_de_Kerangal.pdf).
« Écrire pour donner forme à mon obsession », Le Monde, 16 mai 2019.
« J’aime ce parti pris : le monde est plus important que le pays », Le Monde, 10 août 2019.
Article paru dans la série « Le Monde et moi ».
« Danseurs, plongeurs, descripteurs. La puissance politique de la description littéraire », Revue du crieur, no 17, 2020, p. 4-13.
« Mystère B7 », Le Matricule des anges, no 214 (« Hélène Bessette »), juin 2020, p. 22.
« Une voix devenue humaine », Le Monde, 29 octobre 2020 (lemonde.fr/livres/article/2020/10/29/maylis-de-kerangal-une-voix-devenue-humaine_6057794_ 3260.html).
« L’enfant dehors, à propos de Cosette et Gavroche », Carnets de Chaminadour, no 15 (« Hugo sur les grands chemins de Victor »), 2020, p. 269-277.
Cet article intègre en les redistribuant un certain nombre d’éléments venant du texte paru sous le même titre en 2011 dans Le Magazine littéraire (voir ci-dessus à cette date).
« Mathieu danseur », dans l’ouvrage collectif Compagnies de Mathieu Riboulet, Lagrasse, Verdier, 2020, p. 39-41.
I.9 Chronique « On reprend » dans Le Monde (2016-2017)
« Dichotomies de Leiris », Le Monde, 25 août 2016.
À propos de Le sacré dans la vie quotidienne de Michel Leiris.
« Oreo, bardée de verbe », Le Monde, 22 septembre 2016.
À propos de Oreo de Fran Ross.
« Harry Crews, brut », Le Monde, 20 octobre 2016.
À propos de Descente à Valdez d’Harry Crews.
« Au comptoir des canailles », Le Monde, 17 novembre 2016.
À propos de La petite gamberge de Robert Giraud.
« S’y retrouver dans Proust », Le Monde, 15 décembre 2016.
À propos de Bottins proustiens de Michel Erman.
« Prince de Ligne, l’énigme », Le Monde, 19 janvier 2017.
À propos des Mémoires du prince de Ligne.
« Anita Conti racle le réel », Le Monde, 16 février 2017.
À propos de Racleurs d’océans d’Anita Conti.
« Dans la volière des riches », Le Monde, 16 mars 2017.
À propos de Chez les heureux du monde d’Edith Warton.
« Vérité de Franck O’Connor », Le Monde, 13 avril 2017.
À propos de Les hôtes de la nation de Franck O’Connor.
« L’emprise selon Budd Schulberg », Le Monde, 11 mai 2017.
À propos de Un homme dans la foule de Budd Schulberg.
« La guerre, une intronisation », Le Monde, 8 juin 2017.
À propos de C’est la guerre de Louis Calaferte.
« Pêche miraculeuse », Le Monde, 6 juillet 2017.
À propos de Le vieil homme et la mer d’Ernest Hemingway (nouvelle traduction de Philippe Jaworski).
Oeuvres adaptées au théâtre
Réparer les vivants. Adaptation, interprétation et mise en scène : Emmanuel Noblet, avec la collaboration de Benjamin Guillard. Production déléguée : Centre Dramatique National de Caen ; coproduction : Théâtre Montansier de Versailles. – Avignon, La Condition des Soies, 5 juillet 2015.
Réparer les vivants. Mise en scène : Sylvain Maurice. Production : Théâtre de Sartrouville et des Yvelines. – Sartrouville, Théâtre de Sartrouville et des Yvelines, 4 février 2016.
Dans les rapides. Mise en scène : Jean-Thomas Bouillaguet. Production : Compagnie Mavra, Théâtre Ici et Là de Mancieulles. – Nancy, Théâtre de la Manufacture, 4 avril 2017.
Oeuvres adaptées au cinéma
Corniche Kennedy. Réalisation : Dominique Cabrera ; scénario : Dominique Cabrera ; production : Gaëlle Bayssières. 94 min. Date de sortie : 12 juillet 2016.
Réparer les vivants. Réalisation : Katell Quillévéré ; scénario : Gilles Taurand et Katell Quillévéré ; production : les Films du Bélier, les Films Pelléas. 103 min. Date de sortie : 1er novembre 2016.
II. Bibliographie critique (2009-2021)[1]
II.1 Ouvrage collectif
Bonazzi, Mathilde, Cécile Narjoux et Isabelle Serça (dir.), La langue de Maylis de Kerangal. « Étirer l’espace, allonger le temps », Dijon, Presses universitaires de Dijon, « Langages », 2017, 228 p.
Sommaire. Mathilde Bonazzi, Cécile Narjoux et Isabelle Serça, « Une écriture “avitaillée au multiple” », p. 7-16 ; Dominique Viart, « Maylis de Kerangal, une ethnographie sidérante », p. 19-31 ; Aurélie Adler, « Naissance d’un pont et Réparer les vivants de Maylis de Kerangal. Des romans épiques ? », p. 33-47 ; Bruno Thibault, « Naissance d’un pont, un roman “fleuve” à l’américaine ? », p. 49-60 ; Judith Mayer, « Maylis de Kerangal, l’inspiration documentaire », p. 61-71 ; Dominique Rabaté, « “Créer un peuple de héros”. Le statut du personnage dans les romans de Maylis de Kerangal », p. 73-82 ; Marie Fontana-Viala, « Formes et enjeux de l’écriture de l’espace dans l’oeuvre de Maylis de Kerangal », p. 85-100 ; Sylvie Vignes, « Un temps retrouvé. Maylis de Kerangal et le présent », p. 101-110 ; Sylviane Coyault, « Le parti pris de la jeunesse », p. 111-120 ; Valeria Gramigna, « Maylis de Kerangal. L’écriture et le réel », p. 121-130 ; Stéphane Chaudier et Joël July, « Des corps et des voix. L’euphorie dans le style de Maylis de Kerangal », p. 131-142 ; Stéphane Bikialo et Catherine Rannoux, « Naissance d’un pont. Une “chorégraphie de la collision” », p. 145-158 ; Claire Stolz, « Poésie et fiction, l’hypotypose chez Maylis de Kerangal », p. 159-170 ; Mervi Helkkula, « Structure phrastique et cohérence textuelle dans Réparer les vivants », p. 171-177 ; Karine Germoni, « Réparer les vivants ou comment greffer la parole vive. Discours direct, absence des guillemets et tirets dialogiques », p. 179-196 ; « Un chemin dans le langage », entretiens avec Maylis de Kerangal, p. 199-216. Bibliographie, p. 217-225.
Comptes rendus. Chloé Brendlé, « L’euphorie communicative : le style selon Kerangal », Acta Fabula, vol. 19, no 3, mars 2018, 22 §. – Aron Verga, Studi Francesi, no 187 (vol. 53, no 1), gennaio-aprile 2019, p. 198.
II.2 Chapitres de livre
Viart, Dominique, « Maylis de Kerangal (1967) – Corniche Kennedy, 2008 », Anthologie de la littérature contemporaine française. Romans et récits depuis 1980, Paris, Armand Colin / SCÉRÉN [CNDP-CRDP], 2013, p. 254-255.
Deux brèves notices (p. 254) suivies de deux courts extraits mis bout à bout de Corniche Kennedy (p. 255) ; le premier va des mots « Un panneau d’affichage leur sert de repère » aux mots « des p’tits cons » (Paris, Gallimard, « Folio », 2020 [2008], p. 12-13) ; le second de « IIlico s’agglutinent les uns aux autres » à « on déserte la maison » (ibid., p. 13-14).
Gramigna, Valeria, « L’écriture-monde : M[aylis] de Kerangal », dans Matteo Majorano (dir.), Il ritorno dei sentimenti, Macerata, Quodlibet Studio, « Lettere. Ultracontemporanea », 2014, p. 149-159.
Richard, Jean-Pierre, « Plonger (Maylis de Kerangal [Corniche Kennedy, Naissance d’un pont]) », Les jardins de la terre. Pêle-mêle 2, Lagrasse, Verdier, 2014, p. 44-50.
Tauber, Michèle, « The In-Between : A Blurring of Identity between Center and Periphery in Ya‘aqov Shabtaï’s Past Continuous (1977) and Maylis de Kerangal’s Birth of a Bridge [Naissance d’un pont] (2010) », dans Ruth Amar et Françoise Saquer-Sabin (dir.), The Representation of the Relationship between Center and Periphery in the Contemporary Novel, Newcastle upon Tyne, Cambridge Scholars Publishing, 2018, p. 233-241.
Bonazzi, Mathilde, « Les bottes de ces lieux. Écrire le territoire dans le western contemporain [Naissance d’un pont ; C. Montalbetti, Western ; C. Minard, Faillir être flingué] », dans Jean-Yves Laurichesse et Sylvie Vignes (dir.), États des lieux dans les récits français et francophones des années 1980 à nos jours, Paris, Classiques Garnier, « Rencontres. Série Littérature des xxe et xxie siècles », 2019, p. 267-277.
Paillet, Anne-Marie, « “Plonger dans la langue” : le discours indirect libre, zone de contact dans Corniche Kennedy de Maylis de Kerangal », dans Karine Germoni et Claire Stolz (dir.), Aux marges des discours rapportés. Formes louches et atypiques en synchronie et en diachronie, Louvain-la-Neuve, Academia / l’Harmattan, « Au coeur des textes », 2019, p. 41-55.
Pröll, Julia, « Réparer les vivants de Maylis de Kerangal : (le) toucher dans tous ses états », dans Maria de Jesus Cabral, José Domingues de Almeida et Gérard Danou (dir.), Le toucher. Prospections médicales, artistiques et littéraires, Paris, le Manuscrit, « Exotopies », 2019, p. 109-121.
Rabaté, Dominique, « “Créer un peuple de héros”. Maylis de Kerangal et le personnage », dans Petite physique du roman (des années 1930 à aujourd’hui), Paris, Corti, « Les essais », 2019, p. 277-288.
Republication du texte paru sous le titre « “Créer un peuple de héros”. Le statut du personnage dans les romans de Maylis de Kerangal » dans La langue de Maylis de Kerangal. « Étirer l’espace, allonger le temps » (voir la section « I. Ouvrage collectif »).
Serça, Isabelle, « Ponctuation et promenade dans les allées des phrases. De Gracq à Kerangal en passant par Bailly », dans Jean-Yves Laurichesse et Sylvie Vignes (dir.), États des lieux dans les récits français et francophones des années 1980 à nos jours, Paris, Classiques Garnier, « Rencontres. Série Littérature des xxe et xxie siècles », 2019, p. 327-335.
Vaudrey-Luigi, Sandrine, « L’estompage entre discours direct et discours direct libre dans la prose de Maylis de Kerangal : une configuration idiolectale ? », dans Karine Germoni et Claire Stolz (dir.), Aux marges des discours rapportés. Formes louches et atypiques en synchronie et en diachronie, Louvain-la-Neuve, Academia / l’Harmattan, « Au coeur des textes », 2019, p. 25-39.
Vignes, Sylvie, « Naissance d’un pont : triomphe d’un fleuve », dans Fabienne Bercegol, Susanne Friede, Patrick Marot et Martina Meidl (dir.), L’imaginaire littéraire du fleuve (xixe-xxe siècles), Heidelberg, Universitätsverlag Winter, « Studia Romanica », 2020, p. 141-148.
Gramigna, Valeria, « Nouvelles écritures artistiques au xxie siècle : Haenel [Cercle], Houdart [Gil], de Kerangal [Un monde à portée de main] », dans Fabienne Gaspari et Florence Marie (dir.), L’incarnation artistique. Mises en scènes littéraires, Paris, l’Harmattan, « Approches littéraires », 2021, p. 91-109.
Gramigna, Valeria, « Adolescences dans quelques pages d’aujourd’hui : Maylis de Kerangal [Corniche Kennedy, Un monde à portée de main] et Claudine Galea [Le corps plein d’un rêve, Les choses comme elles sont] », dans Marie-Thérèse Jacquet (dir.), AdolescenceS, Macerata, Quodlibet Studio, « Lettere. Ultracontemporanea », 2021, p. 133-143.
Xanthos, Nicolas, « “Ce tâtonnement singulier au seuil du vivant” : le souci anthropologique de Réparer les vivants », dans Aurore Labadie et Alice Laumier (dir.), Explorations anthropologiques de la littérature contemporaine, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2021, p. 119-137.
II.3 Numéro de revue
« Maylis de Kerangal. Corniche Kennedy, Naissance d’un pont, Réparer les vivants », Roman 20-50. Revue d’étude du roman des xxe et xxie siècles, textes réunis et présentés par Carine Capone et Caecilia Ternisien, no 68, décembre 2019, p. 5-127.
Sommaire. Carine Capone et Caecilia Ternisien, « Un “cycle des initiations” », p. 5-7 ; Cécile Yapaudjian-Labat, « Lire Maylis de Kerangal, “c’est dingue” ! », p. 9-20 ; Carine Capone, « Une romancière à l’assaut des frontières ? Enjeux des zones frontalières dans trois romans de Maylis de Kerangal », p. 21-34 ; Chloé Brendlé, « La “solitude poreuse” des romans de Maylis de Kerangal (Corniche Kennedy, Naissance d’un pont, Réparer les vivants) », p. 35-51 ; Maxime Decout, « Naissance d’un pont. Un roman matérialiste ? », p. 53-65 ; Sylvie Vignes, « Naissance d’un pont et Réparer les vivants ou comment “travailler le réel” », p. 67-77 ; Caecilia Ternisien, « L’onde. Corniche Kennedy et Réparer les vivants de Maylis de Kerangal », p. 79-88 ; Delphine Delga-Leleu, « Maylis de Kerangal, une “pensée-paysage” », p. 89-98 ; Sylvain Dournel, « Poésie d’un roman “à la culotte des choses”. Naissance d’un pont de Maylis de Kerangal », p. 99-113 ; « “Remobiliser des lexiques, les réanimer […], repousser, résister à la pression qui voudrait que tout le monde se dirige vers les mêmes mots, vers les mêmes imaginaires” », entretien de Carine Capone et Caecilia Ternisien avec Maylis de Kerangal, p. 115-127.
II.4 Articles de revue
Brautman, Davida, « Maylis de Kerangal, Corniche Kennedy », The French Review, vol. 83, no 2, December 2009, p. 444-445.
Chifflet, Stéphanie, « Imaginaires industriel et technique ou les lieux du sublime [Naissance d’un pont ; P. Bergounioux, Les forges de Syam ; É. Filhol, La centrale] », Studii si cercetari filologice. Seria limbi romanice [Études et recherches en philologie. Série langues romanes], Editura Universitatii din Pitesti, vol. 14 (« Lieux de l’imaginaire »), 2013, p. 40-55.
Serça, Isabelle, « “La ponctuation est l’anatomie du langage”. Maylis de Kerangal », Littératures, no 72 (« Imaginaires de la ponctuation dans le discours littéraire [fin xixe-début xxie siècle] », dir. Stéphane Bikialo et Julien Rault), 2015, p. 173-184.
Thibault, Bruno, « Maylis de Kerangal, Réparer les vivants », Nouvelles Études Francophones, vol. 30, no 1, printemps 2015, p. 138-139.
Williams, Ann, « Maylis de Kerangal, Réparer les vivants », The French Review, vol. 88, no 4, May 2015, p. 222-223.
Baiocchi, Maria, « Une entreprise titanique. Traduire Maylis de Kerangal en italien », Carnets de Chaminadour, no 11 (« Maylis de Kerangal sur les grands chemins de Claude Simon »), 2016, p. 215-223.
Coyault, Sylviane, « Le roman et la fiction documentaire ou l’épopée du monde moderne : Élisabeth Filhol et Maylis de Kerangal », Revue des sciences humaines, no 324 (« Les savoirs littéraires », dir. Dominique Viart avec la coll. d’Adélaïde Russo), octobre-décembre 2016, p. 71-81.
Lépron, Myriam, « Le grand saut : de Jean Giraudoux à Maylis de Kerangal [Corniche Kennedy ; J. Giraudoux, Aventures de Jérôme Bardini] », Cahiers Jean Giraudoux, no 44, 2016, p. 167-178.
Macé, Marielle, « Porter la responsabilité de son imaginaire. Maylis de Kerangal, À ce stade de la nuit », Critique, no 828, mai 2016, p. 387-398.
Schoentjes, Pierre, « Nature, technologie et écriture : naissance d’un ouvrage d’art [Naissance d’un pont] », Carnets de Chaminadour, no 11 (« Maylis de Kerangal sur les grands chemins de Claude Simon »), 2016, p. 79-98.
Thibault, Bruno, « Maylis de Kerangal, À ce stade de la nuit », Nouvelles Études Francophones, vol. 31, no 2, automne 2016, p. 178-179.
Vignes, Sylvie, « Quand même les sciences dites dures s’humanisent : Naissance d’un pont de Maylis de Kerangal », Revue des sciences humaines, no 324 (« Les savoirs littéraires », dir. Dominique Viart avec la coll. d’Adélaïde Russo), octobre-décembre 2016, p. 61-70.
Yapaudjian-Labat, Cécile, « Transports, voyages, paysages dans les romans de Maylis de Kerangal », Carnets de Chaminadour, no 11 (« Maylis de Kerangal sur les grands chemins de Claude Simon »), 2016, p. 41-63.
Baud, Jean-Marc, « Parle-leur de piliers, de ponts et de chantiers. Fonction narrative et symbolique du pont chez Maylis de Kerangal [Naissance d’un pont] et Mathias Énard [Zone] », Roman 20-50. Revue d’étude du roman des xxe et xxie siècles, no 63, juin 2017, p. 181-191.
Beinstingel, Thierry, « Écrire sur le travail : être dedans et dehors – oeuvres emblématiques et histoires singulières », Modern & Contemporary France, vol. 26, no 3 (« Work in Crisis »), August 2018, p. 323-333.
Sur la « littérature du travail » en France depuis les années 2000 (Maylis de Kerangal : Naissance d’un pont, Réparer les vivants, Un chemin de tables).
Thérenty, Marie-Ève, « “Débusquer la part la plus nocturne et la plus quotidienne de l’existence”. Du roman réaliste à Raconter la vie », Autour de Vallès, no 48 (« Écrire le quotidien », dir. Marie-Astrid Charlier), 2018, p. 179-195.
Étude de cinq ouvrages parus aux éditions du Seuil dans la collection « Raconter la vie » : Le moindre mal (François Bégaudeau, 2014), L’homme-océan (Sylvie Caster, 2015), Regarde les lumières mon amour (Annie Ernaux, 2014), Un chemin de tables (Maylis de Kerangal, 2016), Business dans la cité (Rachid Santaki, 2014).
Brun, Marion, « Corniche Kennedy de Maylis de Kerangal : une pensée de midi ? », Babel. Littératures plurielles, no 40, 2019, p. 379-391.
Buekens, Sara, « Proximité avec la nature et jeu des genres littéraires : L’homme des haies de Jean-Loup Trassard et Naissance d’un pont de Maylis de Kerangal », Études littéraires, vol. 48, no 3 (« Approches écopoétiques des littératures française et québécoise de l’extrême contemporain », dir. Julien Defraeye et Élise Lepage), 2019, p. 21-36.
Carraro, Chira, « La frontière : limen et paysage chez Marie Darrieussecq et Maylis de Kerangal », Les Lettres romanes, vol. 73, nos 3-4, 2019, p. 495-518.
Cottille-Foley, Nora, « Des microcosmes sociaux dans l’oeuvre de Maylis de Kerangal », Contemporary French and Francophone Studies, vol. 23, no 5, December 2019, p. 592-600.
El Khoury, Mona, « Lampedusa, ou la nuit de l’Europe : À ce stade de la nuit de Maylis de Kerangal », French Cultural Studies, vol. 30, no 1, February 2019, p. 65-79.
Ieven, Émilie, « Penser le potentiel utopique des corps en mouvement. Subversion et recréation contemporaines des logiques spatiales chez Maylis de Kerangal », Contemporary French and Francophone Studies, vol. 23, no 3, June 2019, p. 360-368.
Vignes, Sylvie, « Jubilation du “grand saut” et du vol plané (L’invention de l’auteur de Jean Rouaud, Corniche Kennedy, Naissance d’un pont et Réparer les vivants de Maylis de Kerangal) », Modernités, no 39 (« Littérature et jubilation », dir. Éric Benoit), 2019, p. 427-436.
Weyand, Björn, « Technik an der Schwelle von Leben und Tod. Transplantationmedizin in Maylis de Kerangals Réparer les vivants (2014) », dans Imme Bageritz, Hartmut Hombrecher, Vera K. Kostial, Katerina Kroucheva (dir.), Fordschritt und Rückblick. Verhandlungen von Technik in Literatur und Film des 20. und 21, Jahrhunderts, Göttingen, Vandenhoeck & Ruprecht, 2019, p. 113-130.
Xanthos, Nicolas, « “Des hommes sur des échasses” : narrations contemporaines à grande échelle [Naissance d’un pont ; O. Rolin, Port-Soudan ; M. Houellebecq, Plateforme] », Canadian Review of Comparative Literature / Revue canadienne de littérature comparée, vol. 46, no 4, décembre 2019, p. 543-560.
Brendlé, Chloé, « La communauté problématique. Réflexions sur la représentation romanesque contemporaine [de Kerangal, L. Mauvignier, A. Bertina] », Romanesques, no 12, 2020, p. 15-33.
Demanze, Laurent, « Des enquêtes naturalistes aux romans documentaires contemporains. L’ombre portée d’Émile Zola [de Kerangal, J.-B. Del Amo] », Francofonia, no 78 (« Écrire avec les livres. Présences de la littérature française du passé dans les romans et récits contemporains », dir. Silvia Disegni et Dominique Viart), Primavera 2020, p. 167-180.
Antoine, Philippe, « Des écrivains à bord du Transsibérien », La revue des lettres modernes, 2021-2 (« La littérature de voyage aujourd’hui. Héritages et reconfigurations », dir. Philippe Antoine, Chloé Chaudet, Gilles Louÿs et Sarga Moussa), série « Voyages contemporains », p. 113-126.
Étude de six ouvrages de six auteurs qui ont voyagé à bord du Transsibérien au printemps 2010 lors de l’année France-Russie : Maylis de Kerangal [Tangente vers l’est], Mathias Énard [L’alcool et la nostalgie], Dominique Fernandez [Transsibérien], Sylvie Germain [« Variations sibériennes », dans Le monde sans vous], Olivier Rolin [« Irkoutsk-Vladivostock », dans Sibérie] et Danièle Sallenave [Sibir. Moscou-Vladivostok (mai-juin 2010)].
II.5 Publications en ligne
Devevey, Éléonore, « De l’anthropologie comme personnage au roman comme anthropologie ? Sur La bête faramineuse de Pierre Bergounioux et Naissance d’un pont de Maylis de Kerangal », Temps zéro. Revue d’étude des écritures contemporaines, no 9 (« Formes humaines », dir. Nicolas Xanthos), janvier 2015, 35 § (tempszero.contemporain.info/document1250).
Martin-Achard, Frédéric, « Une intériorité sans psychologie ? Étude sur trois romans de la vie intérieure (Kerangal [Réparer les vivants], Lenoir [La folie Silaz], NDiaye [Ladivine]) », Revue critique de fixxion française contemporaine, no 13 (« Fictions de l’intériorité », dir. Alexandre Gefen et Dominique Rabaté), 2016, p. 5-14 (revue-critique-de-fixxion-francaise-contemporaine.org/rcffc/article/view/fx13.02/1071).
Nifosi, Chira, « Ponctuer le texte de sa présence : lyrisme et épopée dans la prose romanesque de Maylis de Kerangal », Revue critique de fixxion française contemporaine, no 14 (« Époque épique », dir. Dominique Combe et Thomas Conrad), juin 2017, p. 140-150 (revue-critique-de-fixxion-francaise-contemporaine.org/rcffc/article/view/fx14.14/1125).
Brendlé, Chloé, « “Points de suture”. Panser l’interdépendance humaine dans quatre récits français contemporains [Réparer les vivants ; E. Carrère, D’autres vies que la mienne ; A. Ernaux, Regarde les lumières mon amour ; L. Mauvignier, Autour du monde] », Temps zéro. Revue d’étude des écritures contemporaines, no 12 (« Poétiques et imaginaires du care », dir. Maïté Snauwaert et Dominique Hétu), avril 2018, 33 § (tempszero.contemporain.info/document1618).
Picard, Anne-Marie, « Lisser les plis du réel ? Un monde à portée de mots [Un monde à portée de main] », Op. cit., revue de littérature française et comparée, no 22 (« Origami, le pli dans les littératures et les arts »), printemps 2021, 13 p., 21 § (revues.univ-pau.fr/opcit/627).
II.6 Entretiens (choix)
Guichard, Thierry, « Chemins de la liberté », Le Matricule des Anges, no 117, octobre 2010, p. 22-27.
Mayer, Judith, « Texto. Écrivains, arts vivants, apéro. Rencontre avec Maylis de Kerangal [Pierre feuille ciseaux] », Université Paris XIII, 16 octobre 2012 (dailymotion.com/video/xvabwt) [43 min 36 s].
Bonnazi, Mathilde, « Maylis de Kerangal. La voix/e des possibles », rencontre avec les étudiants du Master « Métiers de l’écriture » de l’Université Toulouse Jean Jaurès, proposée par Mathile Bonnazi, 17 janvier 2014 (master-ecriture.univ-tlse2.fr/accueil/espace-multimedia/video/rencontre-maylis-de-kerangal-354357.kjsp) [4 h 13 min 06 s].
Busnel, François, « Écrire, c’est comme instaurer un paysage », Lire, no 425, mai 2014, p. 94-101.
Conil, Dominique, « Maylis de Kerangal, auteur de Réparer les vivants », Mediapart, 15 octobre 2014 (dailymotion.com/video/x19ny2d).
Jeancourt-Galignani, Oriane, « Mon livre prend la forme d’un coeur », Transfuge, no 74, janvier 2014, p. 20-25.
Daumas, Cécile, « Maylis de Kerangal : “Les idées viennent du premier monde, celui des sensations, de l’expérience” », Libération, 12 mars 2016, p. 22 (liberation.fr/debats/2016/03/11/maylis-de-kerangal-les-idees-viennent-du-premier-monde-celui-des-sensations-de-l-experience_1439035/).
Kaempfer, Jean, « Le goût du romanesque, le sens de l’épopée », Carnets de Chaminadour, no 11 (« Maylis de Kerangal sur les grands chemins de Claude Simon »), 2016, p. 65-78.
Buekens, Sara, « Entretien. Maylis de Kerangal répond aux questions de Sara Buekens », Revue critique de fixxion française contemporaine, no 14 (« Époque épique », dir. Dominique Combe et Thomas Conrad), juin 2017, p. 140-150 (revue-critique-de-fixxion-francaise-contemporaine.org/rcffc/article/view/fx14.16/1138).
Bonazzi, Mathilde, Isabelle Serça et al., « Un chemin dans le langage », dans Mathilde Bonazzi, Cécile Narjoux et Isabelle Serça (dir.), La langue de Maylis de Kerangal. « Étirer l’espace, allonger le temps », Dijon, Presses universitaires de Dijon, « Langages », 2017, p. 199-216.
Brendlé, Chloé, « Maylis de Kerangal : les formations du roman (le grand entretien) », Diacritik, 21 septembre 2018 (diacritik.com/2018/09/21/maylis-de-kerangal-les-formations-du-roman-le-grand-entretien/).
Koutchoumoff Arman, Lisbeth, « Maylis de Kerangal : “Les romanciers sont des archéologues du temps” », Le Temps, 17 août 2018, p. 22 (letemps.ch/culture/maylis-kerangal-romanciers-archeologues-temps).
Freed-Thall, Hannah et Thangam Ravindranathan, « “Le monde relancé à chaque phrase” : entretien avec Maylis de Kerangal », Contemporary French and Francophone Studies, vol. 23, no 3, June 2019, p. 263-272 (10.1080/17409292.2019.1681649).
Capone, Carine et Caecilia Ternisien, « “Remobiliser des lexiques, les réanimer […], repousser, résister à la pression qui voudrait que tout le monde se dirige vers les mêmes mots, vers les mêmes imaginaires” », Roman 20-50. Revue d’étude du roman des xxe et xxie siècles, no 68 (« Maylis de Kerangal. Corniche Kennedy, Naissance d’un pont, Réparer les vivants »), décembre 2019, p. 115-127.
Lemieux, Dominique, « Entretien avec Maylis de Kerangal », festival « Québec en toutes lettres », 22 octobre 2021 (quebecentouteslettres.qc.ca/evenement/entretien-avec-maylis-de-kerangal/).
Narjoux, Cécile, « Regards d’écrivains. (D)écrire le corps dans les fictions contemporaines. Maylis de Kerangal », 15 mars 2021, Faculté des Lettres de Sorbonne Université (youtube.com/watch?v=G7hwo-gz-yM) [2 h 01 min 03 s].
Appendices
Note
-
[1]
Le classement de chacune des rubriques est chronologique.