Abstracts
Résumé
Chez Maylis de Kerangal, comme dans le roman réaliste, la fin du récit coïncide avec la fin de l’histoire. Les intrigues sont résolues, le lecteur est invité à tourner la page. L’effet de clôture lui-même est souligné, et la dernière scène manifeste un grand souci de composition. Une fois le livre refermé, le lecteur reste sur une image forte – fixe ou animée, car l’écriture de Maylis de Kerangal emprunte manifestement aux procédés cinématographiques. La superposition des explicit permet de dégager des « métaphores obsédantes » susceptibles de mettre en évidence un imaginaire singulier de la fin.
Abstract
As expected in realist novels, Maylis de Kerangal’s narration ends with the story. The intrigues being solved, the reader is invited to turn the page. This closure effect is emphasized, and the last scene demonstrates a great concern for composition. Once the book closed, the reader is left with a strong image – still or animated, as Maylis de Kerangal’s writing clearly borrows from cinematographic devices. The superposition of explicits allows bringing out “obsessive metaphors,” liable to highlight a singular imagination of the end.