Abstracts
Résumé
Relativement peu connu, l’« Hommage à Zola » que Louis-Ferdinand Céline prononça à Medan en 1933 est l’occasion, aujourd’hui, de nous interroger sur la forme de l’hommage d’un écrivain par un écrivain. Le célébrant peut-il ne pas parler du célébré ? Doit-il chercher à réduire la distance qui le sépare de celui qu’il célèbre, ou bien peut-il maintenir ou exacerber sa différence ? Et si oui, à quelles fins ?
Abstract
The relatively unknown tribute to Zola by Louis-Ferdinand Céline, pronounced in Medan in 1933, allows us to question the validity of a tribute to one writer by another. Can the celebrant not talk about the celebrated? Does he try to diminish the distance that separates him from the one he’s celebrating, maintain it, or even exacerbate this difference. If yes, then to what end?