Abstracts
Abstract
The literature from anthropology and from other disciplines which have approached tourism and cultural tourism suggests a perennial problem; these practices tend to destroy their own object. This danger is particularly acute where tourism relies upon experiences of “unspoiled” nature or “non-Westernised” culture. Tourists often degrade or even destroy the environment they are there to appreciate, and their expectations for exotic cultural experiences fail to take into consideration the lived realities of the peoples they have commodified. Folklorama, along with other ethnic festivals, is subject to similar pressures. The authors’ focus upon Folklorama gives them an in-depth perspective upon the individuals and groups who participate, more than upon hierarchies, infrastructures, and governing bodies.
Résumé
La littérature anthropologique ou provenant d’autres disciplines et abordant le tourisme et le tourisme culturel suggère toujours un même problème : ces pratiques tendent à détruire leur propre objet. Ce danger est particulièrement important là où le tourisme porte sur l’expérience de cultures « intactes » ou « non occidentalisées ». Les touristes dégradent ou détruisent souvent l’environnement qu’ils sont venus apprécier, et leur intérêt vis-à-vis de la découverte de cultures exotiques ne prend pas en considération la réalité quotidienne des gens. Le Folklorama, au même titre que les autres festivals ethniques, est l’objet de pressions semblables. L’analyse du Folklorama nous donne une perspective qui éclaire davantage les individus et les groupes qui y participent que les hiérarchies, les infrastructures et les groupes dirigeants.
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