Abstracts
Abstract
Quilting can be more than creating bedspreads from scraps. It is, for Frances Mateychuk, a farmer from Saskatchewan as well as for many other Canadian Women, a way of going through those long winter hours. Through Frances’s voice, the act of quilting takes all its meaning. More than utilisation objects, quilts can become, within a community, a way of creating links and sometimes a way of “disturbing” sexual stereotypes when husbands start to quilts, for example...
Frances Mateychuk’s quilts map her life and space. They are her legacy to her family and community, by which she will be remembered.
Résumé
La réalisation d’une courtepointe peut être bien plus que la simple fabrication d’une couverture de lit à partir de chutes de tissus. C'est, pour Frances Mateychuk, cette fermière de la Saskatchewan, comme pour bien d’autres femmes du Canada, une manière de traverser les longues heures de l’hiver. A travers le témoignage de Frances, le geste de fabriquer une courtepointe prend tout son sens. Plus qu’un objet utilitaire, la courtepointe peut devenir, au sein d’une communauté, un outil de socialisation avec les voisins, et parfois même un moyen de “déranger” les stéréotypes sexuels, lorsque les maris se mettent à coudre, par exemple...
Les courtepointes de Frances Mateychuk tracent la carte de sa vie et de son espace. Elles constituent l’héritage qu 'elle laissera à sa famille et à sa communauté et par lequel on se souviendra d’elle.
Download the article in PDF to read it.
Download