Abstracts
Abstract
Krebs's unusual monograph demonstrates that the writing of pure music theory remains an essential enterprise—particularly in the relatively neglected rhythmic domain—but only if the reader undertakes active reading and has prior knowledge of how the music goes. Within the monograph, perpetuation of the image of the misunderstood and suffering artist as a clue to the extramusical meaning Schumann associated with metrical dissonance leads to biased results. This essay's supplementary analysis of the first movement of Schumann's Symphony No. 3, informed by the history of ideas, proposes that in this movement metrical dissonance is used to reinterpret an emblem of the past so as to convey a vision of the future.
Résumé
La monographie inusitée de Krebs démontre que l’écriture sur la théorie musicale pure demeure une entreprise indispensable, en particulier dans le domaine relativement négligé du rythme. Mais cela, à la condition que le lecteur prenne une part active à la lecture et qu’il connaisse déjà les mécanismes à l’œuvre dans la musique. Les résultats de cette monographie sont altérés par la perpétuation de la figure de l’artiste incompris et malheureux comme indice de la signification extramusicale que Schumann associait à la dissonance métrique. Le premier mouvement de la Troisième Symphonie de Schumann fait l’objet d’une analyse complémentaire à l’essai. Cette analyse, basée sur l’histoire des idées, suggère que la dissonance métrique de ce mouvement est employée pour réinterpréter un emblème du passé afin d’évoquer une vision de l’avenir.
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