Abstracts
Abstract
Background: During rotations, post-graduate medical residents must learn about interprofessional teamwork and collaboration. Our study examined the role of non-physician healthcare team members in such education, from the perspectives of both residents and team members themselves.
Methods: This qualitative study took place in the intensive care unit (ICU) of a teaching hospital in a Canadian city. We conducted semi-structured individual and focus group interviews with both residents (n = 6) and the team members with whom they collaborated: pharmacists, nurses, respiratory therapists, and a social worker (n = 19).
Results: We developed a number of themes about interprofessional education (IPE) in this context from the data, including the presence of planned, unplanned, and tacit teaching; the influence of contextual factors like ICU culture, work demands, resident motivation, power hierarchies, and perceptions of ‘good’ and ‘bad’ residents; the gap between team member perceptions of their contribution to residents’ IP education and residents’ own perceptions; and concerns about the transferability of IPE to other contexts.
Conclusions: The influence of non-physician team members on residents’ IPE in the clinical environment is an understudied topic. While our study was limited to one ICU, the themes that emerged may be of interest to others in similar contexts.
Résumé
Contexte : Au cours des stages, les résidents en médecine doivent apprendre le travail d'équipe et la collaboration interprofessionnelle (IP). Notre étude examine le rôle des membres non-médecins de l'équipe soignante dans cette formation, de leur point de vue et du point de vue des résidents.
Méthodes : Cette étude qualitative a été réalisée dans l'unité de soins intensifs (USI) d'un hôpital universitaire dans une ville canadienne. Nous avons mené des entretiens individuels et des groupes de discussion semi-structurés avec les résidents (n = 6) et les membres de l'équipe avec lesquels ils collaboraient : des pharmaciens, des infirmières, des inhalothérapeutes et un travailleur social (n = 19).
Résultats : À partir des données, nous avons dégagé un certain nombre de thèmes sur la formation interprofessionnelle (FIP) dans ce contexte, notamment la présence d'un enseignement planifié, non planifié et tacite; l'influence de facteurs contextuels tels que la culture des soins intensifs, les exigences du travail, la motivation des résidents, les hiérarchies et la perception des résidents comme étant « bons » ou « mauvais »; le décalage entre les perceptions des membres de l'équipe quant à leur contribution à la formation interprofessionnelle des résidents et celles des résidents eux-mêmes; et les préoccupations concernant la transférabilité de la FIP dans d'autres contextes.
Conclusions : L'influence des membres non-médecins de l’équipe soignante sur la FIP des résidents en milieu clinique est un sujet peu étudié. Bien que notre étude se limite à une seule unité de soins intensifs, les thèmes qui en sont ressortis pourraient être généralisés à des contextes similaires.
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