Abstracts
Abstract
Blind/partially blind people are underrepresented in post-secondary education and lack equitable opportunities to develop a sense of belonging. This study shares narratives of 28 blind/partially blind students from across Turtle Island (in what is colonially called Canada) using Teng et al.’s (2020) Belonging in Academia Model (BAM) as a conceptual framework. Thematically analyzed findings suggest blind/partially blind students’ perspectives offer nuance to the BAM’s conceptualization of how belonging develops through affiliation, familiarity, acceptance, interdependent relationships, and sense of equity. Based on blind/partially blind perspectives, the former trusting connections dimension was renamed interdependent relationships. By attending to the underrepresented perspectives of blind/partially blind students, stakeholders can become more responsive to the experiences of people from equity-deserving groups. Understanding facilitators and barriers to belonging could result in culturally safer and more inclusive pedagogical practices. Only when we create spaces where everyone can belong will higher education move toward being more just.
Keywords:
- accessibility,
- belonging,
- blind,
- blindness,
- disability,
- inclusion,
- higher education
Résumé
Les personnes aveugles/malvoyantes sont sous-représentées dans l'enseignement postsecondaire et manquent d'opportunités équitables pour développer un sentiment d'appartenance. Cette étude partage les récits de 28 étudiants aveugles/malvoyants de toute l'île de la Tortue (aujourd’hui appelé le Canada) en utilisant le Modèle d'Appartenance au milieu Universitaire (BAM) de Teng et al. (2020) comme cadre conceptuel. Les résultats analysés thématiquement suggèrent que les perspectives des étudiants aveugles/malvoyants offrent une nuance à la conceptualisation du BAM sur la façon dont l'appartenance se développe à travers l'affiliation, la familiarité, l'acceptation, les relations interdépendantes et le sentiment d'équité. En tenant compte des perspectives sous-représentées des étudiants aveugles/malvoyants, les intervenants peuvent devenir plus réceptifs aux expériences des personnes appartenant à des groupes méritant l'équité. Comprendre les facilitateurs et les obstacles à l'appartenance pourrait se traduire par des pratiques culturellement plus sûres et des pratiques pédagogiques plus inclusives. Ce n'est que lorsque nous créerons un espace où tout le monde peut appartenir que l'enseignement supérieur deviendra plus juste et équitable.
Mots-clés :
- accessibilité,
- appartenance,
- aveugle,
- cécité,
- handicap,
- inclusion,
- enseignement supérieur
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