Abstracts
Abstract
A collection of cognitive, linguistic, and spelling measures were administered to third- grade English L1 and L2 learners. To capture formative assessments of children’s developing mental graphemic representations (MGRs), spelling errors in isolation were subjected to analysis across three metrics: (1) Phonological constrained; (2) Visual- Orthographic; and (3) Correct Letter Sequences. There were no group differences on the cognitive or spelling accuracy measures, but L1 learners achieved higher scores than L2 on linguistic measures of vocabulary and syntactic knowledge. Analyses across the spelling metrics indicated that both L1 and L2 learners drew more heavily on their knowledge of graphophonemic rules and positional constraints in pronunciation for spelling. However, the contribution of underlying cognitive and linguistic resources to spelling differed as a function of scoring system and language group. Across spelling metrics, linguistic predictors (vocabulary and syntactic knowledge) accounted for more variance in L1 than L2 learners. The results are discussed in relation to conceptualization of spelling as an integral link between oral and written language in literacy development.
Résumé
Une série de mesures cognitives, linguistiques et orthographiques ont été administrées à des élèves de troisième année qui étaient des monolingues anglais (L1) ou des apprenants de langue anglaise (L2). Afin de procéder à des évaluations formatives du développement des représentations graphémiques mentales (RGM) des enfants, les erreurs orthographiques isolées ont été analysées selon trois métriques : (1) contraintes phonologiques ; (2) visuelle-orthographique ; et (3) séquences de lettres correctes. Il n'y avait pas de différences entre les groupes concernant les mesures cognitives ainsi que les mesures de précision orthographique, mais les apprenants L1 ont obtenu des scores plus élevés que les L2 dans les mesures linguistiques du vocabulaire et des connaissances syntaxiques. Des analyses des métriques d'orthographe ont indiqué que les apprenants L1 et L2 s'appuyaient davantage sur leur connaissance des règles graphophonémiques et des contraintes positionnelles de la prononciation pour l'orthographe. Cependant, la contribution de ressources sous-jacentes cognitives et linguistiques à l’orthographe différait en fonction du système de notation et du groupe linguistique. Parmi toutes les métriques d’orthographe, les prédicteurs linguistiques (vocabulaire et connaissances syntaxiques) représentaient plus de variance chez les apprenants de L1 que chez les L2. Les résultats sont discutés en relation avec la conceptualisation de l'orthographe en tant que lien intégral entre le langage oral et écrit chez le développement de l'alphabétisation.
Download the article in PDF to read it.
Download