Abstracts
Abstract
We suggest that complex tasks can be introduced to learners as early as primary school level with the help of digital media in the form of different apps. As a theoretical basis, we will first outline the principles of teaching English in (German) primary schools. Secondly, we will look at the framework of Task-Based Language Teaching (TBLT) according to Nunan (2004) and explore how digitally-mediated tasks can be connected to this framework. Then, we will look at complex tasks as outlined by Hallet (2011) and present an example of a complex digital task for young English as a Foreign Language (EFL) learners that we developed and tested in a German primary school classroom. It is suggested that TBLT at the primary level is a motivating alternative to playful teaching techniques traditionally championed at the primary level. Moreover, it may be a way of bridging the problematic gap between the primary and secondary levels as tasks can prepare young learners for the challenges they will face at the secondary level.
Résumé
Nous suggérons que des tâches complexes peuvent être présentées aux apprenants dès l’école primaire à l’aide des médias numériques sous la forme de différentes applications. Comme base théorique, nous exposerons d’abord les principes de l’enseignement de l’anglais dans les écoles primaires (en Allemagne). Ensuite, nous examinerons le cadre de l’enseignement des langues basé sur les tâches de Nunan (2004) et nous étudierons comment les tâches à médiation numérique peuvent être reliées à ce cadre. Ensuite, nous nous pencherons sur les tâches complexes telles que décrites par Hallet (2011) et présenterons un exemple de tâche numérique complexe pour de jeunes apprenants d’anglais langue étrangère que nous avons développée pour et testée dans une classe d’école primaire allemande. Il est suggéré que le TBLT au niveau primaire est une alternative motivante aux techniques d’enseignement ludiques traditionnellement défendues au niveau primaire. De plus, cette méthode peut être un moyen de combler le fossé problématique entre l’école primaire et secondaire, car les tâches peuvent préparer les jeunes apprenants aux défis qu’ils devront relever au niveau secondaire.