Abstracts
Abstract
John Rea followed up his term as composer-in-residence in Mannheim with an immersion in the 1984 summer courses. Here the Canadian composer relates a series of anecdotes, which include his surprise at being recognized (or actually not recognized) as the composer of Pincer la musique aujourd’hui, and his subsequent attendance at a concert of Xenakis's music accompanied by Morton Feldman, who later shared a number of secrets with him. This leads the author to a reflection on the Darmstadt of his generation, and that of today.
Résumé
Présent au cours de 1984 après une résidence à Mannheim, le compositeur canadien relate une série d’anecdotes au cours desquelles, il est étonné d’être (ou de ne pas être) reconnu comme l’auteur d’un Pincer la musique aujourd’hui au titre remarqué. Il évoque ensuite un concert de musique de Xenakis auquel il a assisté en compagnie de Morton Feldman, qui lui fit des confidences passablement intimes. S’ensuivent quelques réflexions plus générales sur le Darmstadt de sa génération et sur celui d’aujourd'hui.
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