Abstracts
Résumé
Réagissant à ce qu’il appelle l’ambiguïté de la position de Lise Bissonnette et l’infantilisme de celle de Michel Gonneville, Michel Ratté récuse l’idée que la subversion immanente est la première cause de la rupture avec le public et discute l’utilisation faite, par Lise Bissonnette, des citations de Rochlitz et Ferry. Il invite la directrice du Devoir à faire de son journal le lieu d’une authentique critique d’art.
Abstract
Reacting to what he identifies as the ambiguous position of Lise Bissonnette as well as the infantilism of Michel Gonneville, Michel Ratté takes exception with the idea that immanent subversion is the primary cause of this break with the public, and he examines the use made by Lise Bissonnette of quotations from Rochlitz and Ferry. He invites the editor-in-chief of Le Devoir to make her newspaper the cite for an authentic criticism of art.