Abstracts
Abstract
Film and music hae the same communicative capacity, according to Toronto filmmaker Peter Mettler. By adopting the musical rhythms and procedures as creative vectors, the filmmaker, who is also the camaraman and the editor, acquires the means to produce a cinema of the unconscious, of the intuitive, either with or without a narrative structure. Mettler describes his musical approach to film and its application in three of his features: Scissere (1982), Eastern Avenue (1985), and The Top of His Head (1990).
Résumé
Le film a la même capacité de communication que la musique, soutient le cinéaste torontois Peter Mettler. En adoptant les rythmes et les procédés musicaux comme vecteurs créatifs d’images et de sons, le cinéaste, qui est aussi caméraman et monteur, se donne les moyens de produire un cinéma de l’inconscient, de l’intuitif, que ce soit dans une structure narrative ou non. Mettler décrit son approche filmique musicale et ses applications dans trois de ses longs métrages : Scissere (1982), Eastern Avenue (1985) et The Top of His Head ( 1990).