Criminologie, Forensique, et Sécurité

Editor(s): Francis Fortin (Rédacteur), Quentin Rossy (Rédacteur), Sonja Bitzer (Rédactrice), Sarah Paquette (Rédactrice), Georgia Arayess (Coordinatrice de rédaction)

About

Criminologie, Forensique, et Sécurité aims to break down the silos and bring together the disciplines and professions that deal with crime, the security problems that cause harm, and the diversity of ways of responding to them.

Issues covered include:

  • the criminal phenomenon in its general sense, its perpetrators and victims, and the study of preventive and reactive actions;
  • the study of physical and digital traces that result from and convey information about criminal or litigious activity;
  • plural and collaborative approaches linking criminology and forensic science;
  • public and private security issues aimed at implementing measures to protect property and reduce harm.

The journal aims to showcase international diversity: it gives equal space to contributions from a variety of geographical, cultural, disciplinary, paradigmatic and methodological backgrounds.

The journal adopts the French language as a link between contributions: it ensures that articles are written in a language accessible to other specialists.

Contact

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redaction@revue-cfs.net

Francis Fortin - Revue CFS
Université de Montréal
Pavillon Lionel Groulx
Centre international de criminologie comparée (CICC)
C.P. 6128, succursale Centre-ville
Montréal (Québec), Canada, H3C 3J7
https://www.cicc-iccc.org/fr/

Quentin Rossy - Revue CFS
ESC | Ecole des Sciences Criminelles
Université de Lausanne
Amphipôle POL-275 | CH 1015 Lausanne-Dorigny
www.unil.ch/esc

Soumission d'un article

https://www.revue-cfs.net/about/submissions

 

Editorial policy and ethics

Politiques de la revue

Politique Open Access

La Revue adopte une politique de libre accès, ce qui signifie que l'ensemble du contenu électronique est disponible gratuitement pour tout-e utilisateur-trice ou à leur institution.  Dans la mesure où la licence le permet (voir Licence ci-dessous), les utilisateurs-trices sont autorisé-e-s à lire, télécharger, copier, distribuer, imprimer, rechercher et créer des liens vers les textes intégraux des articles, ainsi qu'à les utiliser à toute autre fin légale, sans que l'autorisation préalable de l'éditeur ou de l'auteur ne soit requise.

Ceci est conforme à la définition du libre accès de l'Initiative de Budapest (BOAI - Budapest Open Access Initiative).

Frais

La Revue ne demande aucun frais de soumission, de publication ou d’accès en ligne.

Droits d’auteur

Les contributeurs-trices conservent leurs droits d’auteur sans restriction.

L’auteur-trice accorde au comité de rédaction et au projet SOAP2 le droit de première publication immédiate et gratuite en ligne sur Internet via la plateforme de publication SOAP2 - https://soap2.ch, avec la licence décrite ci-dessous.

Licence

Les contributions électroniques sur Internet sont distribuées sous la licence "Attribution 4.0 International" (CC BY 4.0) https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/deed.fr

Attribution — Vous devez créditer l'Œuvre, intégrer un lien vers la licence et indiquer si des modifications ont été effectuées à l'Œuvre. Vous devez indiquer ces informations par tous les moyens raisonnables, sans toutefois suggérer que l'Offrant vous soutient ou soutient la façon dont vous avez utilisé son Œuvre.

Pas de restrictions complémentaires — Vous n'êtes pas autorisé à appliquer des conditions légales ou des mesures techniques qui restreindraient légalement autrui à utiliser l'Œuvre dans les conditions décrites par la licence.

Les termes de la licence ne s'appliquent pas aux titulaires des droits d'auteur. La licence s'applique aux lecteurs-trices et à la revue.

Processus de sélection et d’évaluation des contributions

Les contributions doivent être en français. Toute contribution transmise dans une autre langue est automatiquement refusée. Un résumé en anglais est requis. 

Une évaluation initiale est réalisée par un membre du comité de rédaction quant à la pertinence de la contribution pour la revue. La contribution doit également respecter les directives de publication.

Dans un second temps, la contribution est envoyée, en général, à deux évaluateurs.trices pour évaluer la qualité scientifique de l’article. Un processus d’évaluation en double aveugle est mis en œuvre, ainsi l’identité des auteurs.trices n’est pas transmise aux évaluateurs.trices et inversement.

Le comité de rédaction gère les interactions entre les évaluateurs.trices et les auteurs.trices.

Dans le cas où un membre du comité de rédaction effectue l’évaluation (si aucun.e autre évaluateur.trice n'a pu rendre un rapport), les auteurs.trices sont informé.e.s de manière transparente et non sous l'apparence d'une évaluation supplémentaire anonyme.

La contribution originale et les évaluations ne sont pas publiées par la revue. Seule la version évaluée par les paires et mise en page est publiée sur le site de la revue.

Le comité de rédaction est responsable de la décision finale de l’acceptation ou du refus des articles. La décision du comité de rédaction est finale.

Le membre du comité de rédaction ou du comité de lecture n’est pas impliqué dans les décisions concernant les articles qu’ils ont eux-mêmes rédigé ou ont été rédigés par un proche ou un collègue direct.

La proportion d'articles publiés dont au moins un des auteurs est membre du comité de rédaction ou du comité de lecture ne dépasse en principe pas 20 %. Un membre peut néanmoins soumettre une proposition de numéro spécial constitué, et en prend la direction après validation par le comité de rédaction.

Gestion des volumes et des numéros

La Revue publie un volume par année divisé en numéros réguliers. Les numéros peuvent être thématiques dans le cas d’un appel à contributions par exemple. Les actes de colloques de l’AICLF sont publiés sous la forme de numéros dédiés.

Référencement

Le comité de rédaction et le projet SOAP2 peuvent intégrer le manuscrit, son titre et son résumé dans les bases de données, les services de résumé et d'indexation, et autres services d'information similaires.

Archivage

Pour garantir la préservation à long terme au sens d'une sauvegarde et d'une disponibilité à long terme, SOAP2 veille à ce que les textes intégraux soient archivés sur SONAR (Swiss Open Access Repository, www.sonar.ch) et préservés avec PORTICO (www.portico.org). [Les deux services sont en préparation].

Charte éthique

Qualité d'auteur.trice et de contributeur.trice

L’ensemble des principes décrits ci-dessous sont tirés et traduits de (COPE Council, 2014; Editorial Policy Committee - Council of Science Editors, 2021). Les discussions sur l'attribution d'un article, surtout lorsqu'il y a un déséquilibre de pouvoir, peuvent être difficiles. La relation entre un.e étudiant.e et un membre du corps enseignant ou un mentor sont des exemples de ce déséquilibre de pouvoir.

Les auteurs.trices sont des personnes identifiées par le groupe de recherche comme ayant apporté des contributions substantielles au travail rapporté et acceptant de rendre compte de ces contributions. En plus d'être responsable pour les parties du travail effectuées, un.e auteur.trice doit être capable d'identifier les coauteurs.trices qui sont responsables d'autres parties spécifiques du travail. En outre, un auteur doit avoir confiance en l'intégrité des contributions de ses coauteurs.trices. Tous les auteurs.trices doivent examiner et approuver le manuscrit final. En cas de désaccord, une grille d’évaluation peut être exploitée par le groupe de recherche. Il est recommandé aux individus qui peuvent être vulnérables au harcèlement, à l'intimidation, aux menaces ou à d'autres formes de coercition, tels que les étudiant.e.s et les jeunes professeur.e.s, de faire part de leurs préoccupations à leur environnement institutionnel. Des conseils sur les bonnes pratiques et la manière de traiter les problèmes d’attribution peuvent être trouvés ici.

L'ordre des auteurs.trices est important pour quantifier et qualifier les contributions relatives à un projet. En accord avec les buts de l’AICLF sur la diffusion et la promotion des jeunes chercheurs.euses, un.e étudiant.e est cité.e en premier lorsque le travail de collaboration dérive essentiellement de son mémoire ou de sa thèse. L’ordre alphabétique n’est pas admis comme critère. En cas de désaccord, une grille d’évaluation peut être exploitée par le groupe de recherche.

L'attribution d'un.e auteur.trice correspondant.e est tout aussi importante pour la revue et pour les lecteurs-trices qui souhaitent contacter les auteurs.trices. La personne désignée doit être prêt.e à répondre rapidement aux questions éditoriales et aux éventuels commentaires et demandes sur l'intégrité de la contribution.

Les remerciements peuvent être utilisés pour indiquer les contributeurs.trices qui ne répondent pas aux critères de la qualité d'auteur.trice, comme le soutien à l'étude, l'encadrement général, la collecte de données, la coordination de l'étude, et autres activités connexes. Il s'agit notamment de la fourniture de conseils, d'un espace de recherche ou d'une supervision du département, de l'obtention d'un soutien financier, de la réalisation d'analyses isolées ou de la fourniture de matériels d'étude. Ces contributions doivent être mentionnées dans les remerciements.

En cas de conflit sur l’attribution d’une contribution pendant le processus de publication, le comité de rédaction s'abstient de publier l'article jusqu'à sa résolution. Après la publication, le comité de rédaction examine le cas. De simples corrections de l'orthographe des noms, d'affiliations ou de références peuvent être corrigées à la discrétion du comité. Tous les auteurs.trices sont informés de la correction apportée à la contribution. Un changement de l'ordre des auteurs, l'ajout ou le retrait d'un.e auteur.trice nécessitent le consentement écrits de tous les auteurs.trices listé.e.s.

Conflits d'intérêts

Les conflits d'intérêts peuvent être brièvement définis comme étant tout facteur d'influence qui interfère avec l'intégrité objective de la recherche et de sa publication (Barbour, 2016). Des exemples de conflits d’intérêts sont définis ici.

Les auteurs.trices et les évaluateur.trices annoncent les éventuels conflits d’intérêts dans le cadre du processus de publication. Ils sont mentionnés dans la publication.

En cas de soupçon de conflit d’intérêts, le comité de rédaction met en œuvre un processus de traitement du cas selon les principes du « Committee on Publication Ethics (COPE) » pour les articles en cours de soumission et pour les articles publiés.

Tel que défini dans le cadre du processus de sélection et d’évaluation des contributions, le membre du comité de rédaction ou du comité de lecture n’est pas impliqué dans les décisions concernant les articles qu’ils ont eux-mêmes rédigé ou ont été rédigés par un proche ou un collègue direct.

Dans le cadre d’une allégation de mauvaise conduite ou d’une réclamation, les membres de la revue directement impliqués n’interfèrent pas dans les processus de communication et de décision.

Dans le cadre d’une demande par rapport à la politique éditoriale ou aux principes d’éthiques de la revue adressée à l’éditeur, les membres de l’AICLF qui sont membres du comité de rédaction de la revue ne participent pas au processus de décision.

Données et reproductibilité

La revue encourage les auteurs.trices à diffuser leurs données en libre accès via les plateformes recommandées par leurs institutions et selon le cadre légal et réglementaire.

Une référence à la disponibilité des données peut être intégrée dans la publication. Elle inclut des informations sur l'endroit où les données peuvent être trouvées, y compris, le cas échéant, des hyperliens (permanents) vers des ensembles de données archivés publiquement, analysés ou générés pendant l'étude.

Il n'est pas toujours possible de partager publiquement les données de recherche, par exemple lorsque la vie privée des individus peut être compromise. Dans ce cas, les conditions de disponibilité des données doivent être mentionnées dans le manuscrit.

Évaluation par les pairs

L’ensemble des principes décrits ci-dessous sont tirés et traduits de (COPE Council, 2017, 2021).

Les évaluateurs.trices s’engagent à :

  • déclarer tous les intérêts concurrents ou conflictuels potentiels,
  • répondre à l’invitation dans les délais définis lors de la demande,
  • garder à l'esprit que la revue requiert une évaluation juste, honnête et impartiale des forces et des faiblesses du manuscrit,
  • indiquer les aspects du manuscrit non évalués,
  • ne pas être influencé par des considérations liées à la nationalité, aux convictions religieuses ou politiques, au genre ou à d'autres caractéristiques personnelles, à l'origine d'un manuscrit ou à des considérations commerciales,
  • respecter la confidentialité du processus et s'abstenir d'utiliser les informations obtenues à leur propre avantage ou à l'avantage d'un autre, ou pour désavantager ou discréditer d'autres personnes,
  • ne faire participer personne d'autre à l'examen d'un manuscrit sans avoir obtenu au préalable l'autorisation de la revue,
  • informer la revue des irrégularités concernant l'éthique de la recherche et de la publication.

Lors de la rédaction, les évaluateurs.trices s’engagent à :

  • formuler le retour d'information de manière courtoise et constructive,
  • s'abstenir de faire des commentaires négatifs injustes ou d'inclure des critiques injustifiées sur les travaux cités,
  • éviter de suggérer des citations à son propre travail (ou celui d'un.e proche collègue) dans le seul but d'augmenter sa visibilité.

Le comité de rédaction ne supprime ou n’altère pas de contenu dans les évaluations. Afin d’éviter du contenu non constructif ou hostile dans les évaluations, le comité de rédaction peut demander des modifications avant d’envoyer l’évaluation aux auteur.trice.s, afin de permettre à l’évaluateur.trice de garder le contrôle du contenu. En cas de refus d'éditer les parties jugées inacceptables de la critique, le comité de rédaction peut ajouter une note : "[Rédaction : notre politique est de ne pas éditer les rapports d’évaluation par les pairs. N'hésitez pas à ignorer cette déclaration.]"

Discussions et corrections après publication

Un « commentaire » pour réagir à l’un des articles parus peut être soumis à la revue. Les critiques doivent être raisonnables et ne pas contenir de contenu calomnieux ou diffamatoire.

Le comité de rédaction met en œuvre un processus de traitement des commentaires, tel que décrit dans le schéma de flux du « Committee on Publication Ethics (COPE) ».

Après réception du commentaire, le comité de rédaction invite les auteurs.trices de l'article critiqué à rédiger une « Réponse au commentaire ». Tant le commentaire et la réponse sont examinés et révisés par un membre de la revue ou un.e évaluateur.trice externe. S’ils sont acceptés et publiés, ils sont indexés dans les banques de données. Les auteurs.trices peuvent également décider de modifier ou retirer leur contribution.

Allégations de mauvaise conduite

L’ensemble des principes décrits ci-dessous sont tirés et traduits de (Académies suisses des sciences, 2021; COPE Council, 2015). De manière générale, le terme "mauvaise conduite en matière de recherche" s'applique à toute action non conforme aux principes fondamentaux de l’intégrité scientifique : « fiabilité », « honnêteté », « respect », et « responsabilité ».

L’allégation d’une violation de l’intégrité scientifique s’appuie sur une description formalisée dans un code de conduites (Académies suisses des sciences, 2021; Editorial Policy Committee - Council of Science Editors, 2021), telle que l’allégation de faits fallacieux, la falsification, le plagiat, ou le mauvais traitement de personnes.

Compte tenu de l'importance de la confidentialité dans le processus de publication scientifique et de l’impact d’une allégation de mauvaise conduite sur les personnes impliquées, le partage d'informations sur l’allégation n’est entrepris par le comité de rédaction que lorsqu’il est nécessaire pour prévenir et répondre à l’allégation.

Dans la correspondance concernant des allégations de mauvaise conduite, il est important que les informations partagées se limitent aux faits en évitant les conjectures et suppositions. La mention "confidentiel" est incluse à l'objet de chaque communication. La communication doit être traitée comme telle et ne pas être transmise au-delà de la liste de diffusion initiale sans autorisation écrite de l’expéditeur.trice.

En fonction de la nature de l’allégation, le comité de rédaction met en œuvre un processus de traitement des allégations selon les recommandations décrites dans les schémas de flux du « Committee on Publication Ethics (COPE) ».

Retrait d'une publication

L’ensemble des principes décrits ci-dessous sont tirés et traduits de (COPE Council, 2019). Le comité de rédaction peut décider de retirer une contribution si :

  • il y a des preuves claires que les résultats ne sont pas fiables, soit en raison d'une erreur majeure (par exemple, erreur de calcul ou erreur expérimentale), soit à la suite d'une fabrication (par exemple, de données) ou d'une falsification (par exemple, manipulation d'images),
  • elle constitue un plagiat,
  • les résultats ont déjà été publiés ailleurs sans que les sources précédentes soient dûment citées ou divulguées à la revue ou sans l'autorisation de republier,
  • elle contient du matériel ou des données sans autorisation d'utilisation,
  • les droits d'auteur ont été violés ou il existe un autre problème juridique grave (par exemple, la diffamation, la vie privée),
  • elle fait état de recherches non éthiques,
  • elle a été publiée sur la base d'un processus d'examen par les pairs compromis ou manipulé,
  • l'auteur ou les auteurs n'ont pas divulgué un conflit d'intérêts qui, de l'avis du comité de rédaction, aurait eu une influence démesurée sur les résultats de la recherche ou aurait indûment affecté l’évaluation par les pairs.

Dans le cas d’une rétractation, une « notice de rétraction » est publiée dans la revue par le comité de rédaction sous la forme d’une communication mentionnant la référence de la contribution et les raisons de la rétractation.  Le comité de rédaction discute avec les auteurs.trices et tente de se mettre d'accord sur une formulation qui soit claire et informative pour les lecteurs.trices et acceptable pour toutes les parties. Cependant, des négociations prolongées ne doivent pas retarder de manière déraisonnable la rétractation qui est publiée même si un consensus ne peut être atteint.

Si la rétractation est due aux actions de certain.e.s auteurs.trices uniquement, l'avis de rétractation le mentionne dans la mesure du possible. Cependant, la qualité d'auteur.trice implique un certain degré de responsabilité conjointe pour l'intégrité de la recherche rapportée. Il n'est donc pas approprié que les noms des auteurs.trices soient retirés d'une publication, même s'ils ne sont pas directement coupables des erreurs ou des actions qui ont conduit à la rétractation.

Réclamations, recours et supervision de la revue

La revue peut recevoir des demandes d'institutions ou d'auteurs pour corriger ou même rétracter un article après sa publication. Toute demande doit inclure toutes les preuves à l'appui de la correction afin que le comité de rédaction évalue la demande en fonction de la politique éditoriale et des principes d’éthiques.

Une demande par rapport à la politique éditoriale ou aux principes d’éthiques de la revue doit être adressée à l'éditeur (AICLF). Le comité scientifique de l'AICLF évalue la demande, puis la traite avec le comité de rédaction.

La revue n’apporte pas de correction tant que le conflit est ouvert (non résolu).

Les auteurs, la revue et les institutions sont susceptibles d'avoir accès à une représentation juridique en cas de litige.

Références

Académies suisses des sciences. (2021). Code d‘intégrité scientifiquehttp://go.academies-suisses.ch/integrity

Barbour, V. (2016). Handling competing interests. COPE Council. https://doi.org/10.24318/ElTeSLhp

COPE Council. (2014). COPE Discussion Document: Authorshiphttp://dx.doi.org/10.24318/cope.2019.3.3

COPE Council. (2015). COPE Guidelines: Sharing of information among editors-in-chief regarding possible misconducthttps://doi.org/10.24318/cope.2019.1.7

COPE Council. (2017). COPE Ethical guidelines for peer reviewershttps://doi.org/10.24318/cope.2019.1.9

COPE Council. (2019). COPE Retraction guidelineshttps://doi.org/10.24318/cope.2019.1.4

COPE Council. (2021). COPE Guidelines: Editing peer reviewshttps://doi.org/10.24318/AoZQIusn

Editorial Policy Committee - Council of Science Editors. (2021). CSE’s White Paper on Promoting Integrity in Scientific Journal Publicationshttps://cseditors.wpenginepowered.com/wp-content/uploads/CSE-White-Paper_Feb2022_webPDF.pdf


Information for contributors

Instructions pour les auteurs

https://www.revue-cfs.net/about/submissions

Editorial board

Comité de rédaction

Sonja Bitzer
Ecole de criminologie (Louvain)
sonja.bitzer@uclouvain.be

Sarah Paquette
Département de Psychologie (Portsmouth)
sarah.paquette@port.ac.uk

Francis Fortin
Ecole de Criminologie (Montréal)
francis.fortin@umontreal.ca

Quentin Rossy
Ecole des sciences criminelles (Lausanne)
quentin.rossy@unil.ch

Coordinatrice de rédaction
Georgia Arayess
Ecole des sciences criminelles (Lausanne)
redaction@revue-cfs.net

Comité de lecture

En cours de constitution

Patricia Akiobe

École de travail social et de criminologie, Université Laval

Maxime Bérubé

Département de chimie, biochimie et physique, Université du Québec à Trois-Rivières

Julien Chopin

École de criminologie, Université de Montréal

Nadine Deslauriers-Varin

École de travail social et de criminologie, Université Laval

Olivier Delémont

École des Sciences Criminelles, Université de Lausanne

Elsa Euvrard

École de travail social et de criminologie, Université Laval

Vincent Francis

École criminologie, Université de Louvain

Magali Ginet

Laboratoire de Psychologie Sociale et Cognitive, Université Clermont-Auvergne

Aline Girod-Frais

Bundesministerium für Inneres, Bundeskriminalamt, Österreich

Lionel Grossrieder

École des Sciences Criminelles, Université de Lausanne

Alexia Jonkheere

Institut National de Criminalistique et de Criminologie

Raoul Kienge-Kienge Intudi

École de criminologie, Université de Kinshasa

Kim Lallemand

Institut National de Criminalistique et de Criminologie

Chloé Leclerc

École de criminologie, Université de Montréal

Ghislain Patrick Lessène

Centre d'Etudes Juridiques Africaines (CEJA)

Adrian Cristian Moise

Université Spiru Haret à Bucarest

Amélie Pedneault

Department of Criminal Justice and Criminology, Washington State University

Denis Werner

School of Human Sciences, University of Derby