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Le travail de M. Hanson a été présenté à la dernière réunion du Rendez-vous de septembre à Monte-Carlo, en septembre 1968. On sent l’auteur très préoccupé des résultats adverses de la réassurance dans le monde. Celle-ci subit l’effet direct des conditions assez mauvaises auxquelles est souscrite l’assurance directe. Il semble également que s’établit un écart assez marqué entre l’assureur direct et le réassureur, écart qui non seulement se maintient d’année en année, mais s’accentue. C’est à une amélioration des résultats que tend l’auteur. Il ne la voit que dans une collaboration plus grande de la cédante et de ses réassureurs et des réassureurs entre eux. Nos lecteurs liront avec intérêt, sans doute, ce texte qui résume les préoccupations de tous ceux qui, à Monte-Carlo, étaient réunis pour l’étude en commun de leurs problèmes immédiats ou lointains. L’auteur parle aussi de la nécessité de la recherche dans le domaine de l’assurance et de la réassurance. Nous nous en félicitons, car, à nous également, il a toujours semblé qu’il y avait là un facteur essentiel de succès à long terme. A.

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Notre collaborateur indique ici, en particulier, la réaction des marchés de réassurance aux sinistres croissants. On trouvera dans son texte l’explication de la hausse du prix de l’assurance, de quelques problèmes importants et de la difficulté d’obtenir les montants de plus en plus élevés que demandent les grandes affaires. Nous avons pensé que le lecteur trouverait dans ce travail les raisons d’une situation nouvelle, qui sera peut-être le point de départ d’une évolution assez radicale des méthodes de travail. A.