Volume 38, Number 1, 2003
Table of contents (6 articles)
Articles
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Deep drill hole in the Devonian South Mountain batholith, Nova Scotia: a potential for hidden mineral deposits within the batholith
A. K. Chatterjee and J. Dostal
pp. 1–10
AbstractEN:
The drill hole near Digby in southwestern Nova Scotia is the deepest on-shore hole in the Canadian Appalachians, and penetrated to a depth of about 1.5 km. The site of the drill was selected at the periphery of the Devonian South Mountain batholith, which contains important mineralization of tin and uranium. The drill hole intersected texturally uniform megacrystic biotite granodiorite, which does not display any pronounced primary vertical zonation. At depth, the drill core contains zones of alteration, fracturing, and brecciation. The alteration is mainly due to fluid flow along the fractures. Some fractures are mineralized and contain galena, sphalerite, pyrrhotite, chalcopyrite, pyrite, hematite, quartz, and carbonate minerals. Common occurrence of alteration zones in the hole suggests that such zones are widespread in the batholith and point to abundant hydrothermal activity deep within the massif. It is inferred that the potential for hidden economic mineral deposits within the batholith is much greater than is suggested by surface features. The association of mineralization as seen in the drill core with the most primitive rocks of the batholith further indicates that mineral deposits in granitoid rocks are not always hosted by the most evolved and fractionated rocks. Extensive fracturing demonstrates that the batholith is not a suitable candidate for the storage of radioactive waste material. High temperature measured in the drill hole (~68°C at a depth of about 1,450 m) suggests that the pluton has promise as a source of geothermal energy.
FR:
Le puits de forage creusé près de Digby dans le Sud-Ouest de la Nouvelle-Écosse constitue le puits sur rivage le plus profond dans les Appalaches canadiennes; il s enfonce à une profondeur d environ 1,5 kilomètre. L emplacement du trou de forage a été choisi à la périphérie du batholite dévonien du mont South, qui abrite une minéralisation importante d étain et d uranium. Le trou de forage a entrecoupé de la granodiorite à biotite phénocristalline à texture uniforme qui n affiche aucun rubanement vertical primaire prononcé. En profondeur, lacarotte de forage présente des zones d altération, de fissuration et de bréchification. L altération est principalement due à un écoulement de fluides le long des fissures. Certaines fissures sont minéralisées et renferment de la galène, de la sphalérite, de la pyrrhotine, de la chalcopyrite,de la pyrite, de l hématite, du quartz et des carbonates. La présence fréquente de zones d altération dans le trou permet de supposer que ces zones sont répandues dans le batholite et elle signale une activité hydrothermale abondante en profondeur à l intérieur du massif. On en déduit que le potentiel de gîtes minéraux rentables cachés à l intérieur du batholite est beaucoup plus vaste que ce que laissent supposer les caractéristiques à la surface. L association de la minéralisation avec les roches les plus primitives du batholite dont témoigne la carotte révèle par ailleurs que les gîtes minéraux dans des roches granitiques ne sont pas toujours inclus dans les roches les plus évoluées et les plus fractionnées. Le degré de fissuration prononcé révèle que le batholite ne constitue pas un candidat convenable pour le stockage des déchets radioactifs. La température élevée relevée dans le trou de forage (~68°C à une profondeur de 1 450 m) laisse supposer que le pluton représente une source prometteuse d énergie géothermique.
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Zeolite minerals from the North Shore of the Minas Basin, Nova Scotia
Georgia Pe-Piper and Lisa Miller
pp. 11–28
AbstractEN:
X-ray diffraction and electron microprobe analyses show the following assemblages to be present in basalt flows and overlying siliciclastic sedimentary rocks along the North Shore of the Minas Basin: Five Islands — chabazite and stilbite are dominant, also "heulandite" and barrerite; Two Islands — analcime is dominant, gmelinite, chabazite, stilbite, and natrolite; Wasson Bluff — chabazite, stilbite and "heulandite" are dominant, also herschelite, barrerite, stellerite, analcime, wairakite, natrolite, clinoptilolite, and thomsonite; Partridge Island — chabazite and stilbite are dominant, also analcime, epistilbite, natrolite, barrerite, and "heulandite"; Cape Sharp — chabazite, stilbite, barrerite, stellerite, and "heulandite"; Horseshoe Cove — "heulandite" and stilbite; Western Cape d'Or — analcime, stilbite, natrolite, and mesolite are dominant, also stellerite, ?epistilbite, barrerite, scolecite, chabazite, "heulandite", wairakite, tetranatrolite and laumontite. Comparison is made with assemblages at Arlington Quarry on North Mountain, where the dominant zeolite minerals are heulandite (sensu stricto) and stilbite. Elsewhere on North Mountain, mordenite, natrolite, and laumontite have been confirmed. Chemical composition of hydrothermal fluids was likely different between North Mountain and the North Shore, with fluids in the latter area less sodic. The temperature of zeolite crystallization appears to have been high at Arlington Quarry, where "heulandite" and stilbite crystallised with little Na in their crystal structure. With falling temperature the crystallizing solution became enriched in Na, and sodic zeolite minerals, such as natrolite, began to crystallize. At lower temperatures on the North Shore, Na was accommodated in the structure of chabazite and other zeolites such as analcime, and final crystallisation was represented by only small amounts of Na-rich zeolites (natrolite group).
At Wasson Bluff, basalt flows of the North Mountain Basalt and overlying siliciclastic sediments of the McCoy Brook Formation are all dismembered by synchronous movement on the nearby left-lateral Portapique Fault. The dominant vesicle fillings in basalt are celadonite and silica minerals, with minor "heulandite", chabazite, and analcime. The oldest basaltic clasts in the McCoy Brook Formation contain a similar mineral assemblage (including sparse "heulandite" and chabazite) in amygdales, suggesting that the oldest zeolitization predated erosion of the clasts at fault scarps in the basalt. Zeolite minerals in the McCoy Brook Formation sedimentary rocks are restricted to a few discrete zones, including major faults. Massive veins within faults consist principally of chabazite. Rosettes of quartz and either "heulandite" or stellerite appear to have precipitated in situ in the muddy matrix of talus and debris-flow deposits within a few metres of these faults.
FR:
Les analyses par diffraction des rayons X et par microsonde électronique révèlent la présence des assemblages ci-après dans les coulées basaltiques et les roches sédimentaires silicoclastiques sus-jacentes le long du rivage nord du Minas Basin: Five Islands – prédominance dechabasite et de stilbite, ainsi qu « heulandite » et barrérite; Two Islands – analcime (prédominance), ainsi que gmélinite, chabasite, stilbite et natrolite; Wasson Bluff – prédominance de chabasite, de stilbite et « d heulandite », ainsi qu herschélite, barrérite, stellérite, analcime, wairakite, natrolite, clinoptilolite et thomsonite; Partridge Island – prédominance de chabasite et de stilbite, ainsi qu analcime, épistilbite, natrolite, barrérite, et « heulandite »; Cape Sharp – chabasite, stilbite, barrérite, stellérite et « heulandite »; Horseshoe Cove – « heulandite » et stilbite; Cape d Or Ouest – prédominance d analcime, de stilbite, de natrolite et de mésolite, ainsi que stellérite, épistilbite, barrérite, scolécite, chabasite, « heulandite », wairakite, tétranatrolite et laumontite. Une comparaison a été effectuée avec des assemblages de la carrière Arlington au North Mountain, où les zéolites prédominantes sont l heulandite (au sens strict) et la stilbite. Ailleurs au North Mountain, la présence de mordénite, de natrolite et de laumontite a été confi rmée. La composition chimique des fl uides hydrothermaux du North Mountain était vraisemblablement différente de celle des fl uides de la côte nord, les fl uides de cette dernière région étant moins sodiques. La température de cristallisation de la zéolite semble avoir été élevée dans la carrière Arlington, où l « heulandite et la stilbite se sont cristallisées en intégrant peu de Na dans la structure de leurs cristaux. Avec la baisse de la température, la solution de cristallisation s est enrichie en Na, et les zéolites sodiques, comme la natrolite, ont commencé à se cristalliser. Aux températures inférieures de la côte nord, le Na a été incorporé dans la structure de la chabasite et des autres zéolites telles que l analcime, et la cristallisation fi nale était représentée par des quantités réduites seulement de zéolites riches en Na (groupe de la natrolite).
À la Wasson Bluff, les coulées basaltiques du basalte du North Mountain et les sédiments silicoclastiques sus-jacents de la Formation de McCoy Brook sont tous démembrés par le mouvement synchrone exercé sur la faille latérale gauche voisine de Portapique. Les matièresprédominantes remplissant les vacuoles dans le basalte sont la céladonite et la silice, en compagnie de petites quantités d « heulandite », de chabasite et d analcime. Les clastes basaltiques les plus âgés à l intérieur de la Formation de McCoy Brook renferment un assemblage minéralanalogue (notamment de l « heulandite » et de la chabasite de faible densité) dans les géodes, ce qui laisse supposer que la zéolitisation la plus ancienne a précédé l érosion des clastes aux escarpements des failles dans le basalte. Les zéolites dans les roches sédimentaires de la Formation de McCoy Brook se limitent à quelques zones distinctes, dont des failles importantes. Les fi lons massifs présents à l intérieur des failles sont principalement constitués de chabasite. Des nodules de quartz et d « heulandite » ou de stellérite semblent s être précipités sur place dans la gangue boueuse du talus et les dépôts de coulées de débris à moins de quelques mètres de ces failles.
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Geochronology of the Letete and Waweig formations, Mascarene Group, southwestern New Brunswick
B. V. Miller and L. R. Fyffe
pp. 29–36
AbstractEN:
Felsic tuffs from the Letete and Waweig formations of the Mascarene Group in southwestern New Brunswick have essentially identical U-Pb ages of 437 ± 7 and 438 ± 4 Ma and were, therefore, both deposited in the Llandoverian of the Early Silurian. These radiometrically determined ages bring into question the validity of assigning Late Silurian ages to rock units in the Mascarene Basin based on the presence of Salopina sp. The new data also indicate that rate of deposition for the volcanic sequences in the Mascarene Basin of New Brunswick is similar to that of the classic sections in coastal Maine.
FR:
Les tufs felsiques des formations de Letete et de Waweig du groupe de Mascarene dans le Sud-Ouest du Nouveau-Brunswick ont des âges au U-Pb essentiellement identiques de 437 ± 7 et 438 ± 4 Ma; ils se sont par conséquent déposés dans les deux cas au cours du Valentien, pendant le Silurien précoce. Ces âges radiométriques remettent en question la validité de l'attribution d'âges remontant au Silurien tardif aux unités rocheuses du bassin de Mascarene basée sur la présence de l'espèce Salopina. Les nouvelles données révèlent par ailleurs que le rythme de sédimentation des séquences volcaniques dans le bassin de Mascarene au Nouveau-Brunswick est semblable à celui des sections classiques le long du littoral du Maine.
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Evidence for post-Acadian through Alleghanian deformation in eastern Maine: multiple brittle reactivation of the Norumbega Fault system
Chunzeng Wang and Allan Ludman
pp. 32–52
AbstractEN:
Detailed mapping in eastern and east-central Maine reveals a complex history of multiple brittle reactivations along the Norumbega fault system (NFS) following initial late Acadian (380 Ma) ductile shearing. Three distinct episodes of brittle faulting are now recognized, each characterized by a unique combination of fault kinematics and dynamics. These three events record a previously poorly-known part of northern Appalachian history — the transition from Acadian stress regimes related to one set of plate collisions to Alleghanian stresses associated with very different plate interactions.
Although NFS ductile strain was partitioned into three major high-strain zones in eastern Maine, only the central Waite zone experienced significant post-Acadian brittle deformation. The Waite zone is therefore considered the master fault for the brittle reactivations. All post-Acadian redbed exposures are located in the Waite zone, including two new fault-bounded slivers discovered during this study.
The first two brittle faulting episodes predated deposition of the post-Acadian redbeds and both involved dextral strike-slip motion although episode 1 also had a significant dip-slip component. Episode 2 was responsible for the formation of the post-Acadian (Carboniferous?) redbed basins, possibly through a pull-apart mechanism. Brittle episodes 1 and 2 probably occurred in late Devonian through Mississippian times. Oblique (reverse-sinistral) faulting during episode 3 deformed the redbeds and is attributed to the Permian Alleghanian orogeny. Paleostress analyses based on abundant outcrop-scale conjugate faults suggest that the maximum principal stress (఼1) for the three brittle episodes rotated counterclockwise from a WNW — ESE orientation during episode 1 to NE — SW for episode 2 and changed to N-S for episode 3.
FR:
La cartographie détaillée de l'Est et du centre-est du Maine révèle un passé complexe de rétablissements fragiles multiples le long du système de failles de Norumbega (SFN) à la suite du cisaillement ductile initial de l'Acadien tardif (380 Ma). On reconnaît maintenant trois épisodes distincts de formation de failles fragiles, caractérisés chacun par une combinaison unique de la cinématique et de la dynamique des failles. Ces trois épisodes ont enregistré une tranche auparavant mal connue du passé du nord des Appalaches : la transition des régimes de contrainte acadiens apparentés à une série de collisions de plaques, aux contraintes alléghaniennes associées à des interactions entre plaques très différentes.
Même si la déformation ductile du SFN a été segmentée en trois zones principales à forte contrainte dans l'Est du Maine, seule la zone centrale de Waite a subi une déformation fragile prononcée après l'Acadien. La zone de Waite est par conséquent considérée comme la faille maîtresse des rétablissements fragiles. Tous les affleurements de couches rouges ultérieurs à l'Acadien se situent dans la zone de Waite, notamment deux nouvelles tranches délimitées par des failles découvertes au cours de la présente étude.
Les deux premiers épisodes de formation de failles cassantes ont précédé la sédimentation des couches rouges ultérieures à l'Acadien et ont tous deux comporté un coulissage dextre, bien que le premier épisode ait en plus présenté un rejet incliné marqué. Le second épisode a entraîné la formation des bassins de couches rouges ultérieurs à l'Acadien (Carbonifère?), possiblement en vertu d'un phénomène d'extension. Les deux premiers épisodes fragiles sont probablement survenus au cours du Dévonien tardif à l'époque du Mississippien. La formation de failles diagonales (inverses-senestres) au cours du troisième épisode a déformé les couches rouges; on l'attribue à l'orogenèse alléghanienne du Permien. Des analyses des paléocontraintes basées sur les failles conjuguées d'affleurement abondantes permettent de supposer que la contrainte principale maximale (఼1) des trois épisodes fragiles a pivoté dans le sens antihoraire, passant d'une orientation ONO-ESE au cours du premier épisode, au NE—SO au cours du deuxième épisode, puis au N-S au cours du troisième épisode.
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Granitoid plutons of the Brookville terrane, southern New Brunswick: petrology, age, and tectonic setting
Chris E. White, Sandra M. Barr, Brent V. Miller and Michael A. Hamilton
pp. 53–74
AbstractEN:
Latest Neoproterozoic and Cambrian plutons in the Brookville terrane of southern New Brunswick are termed the Golden Grove Plutonic Suite. Four groups are recognized on the basis of composition: gabbro (2 plutons), diorite - granodiorite (17 plutons), granodiorite - monzogranite (8 plutons), and syenogranite - monzogranite (7 plutons). The dioritic to granodioritic and most of the granodioritic to monzogranitic plutons form linear trends on chemical variation diagrams, suggesting that magma evolution was dominated by plagioclase and amphibole fractionation. These plutons appear to constitute a typical I-type, calc-alkaline suite characteristic of continental margin subduction zones. This interpretation is supported by U-Pb zircon ages, which show that these plutons have ages between 540 Ma and 526 Ma. A new U-Pb age of 539.6 ± 1.2 Ma from one of the gabbroic plutons shows that the gabbroic plutons are co-genetic with the dioritic to granitic plutons, although they show varied ultramafic to anorthositic and dioritic compositions as a result of crystal accumulation. The syenogranitic to monzogranitic plutons and two of the granodioritic and monzogranitic plutons, as well as felsic volcanic rocks of the Dipper Harbour volcanic unit, show chemical trends that differ from the other plutons in having A-type characteristics. A U-Pb age of 548 ± 2 Ma for the Fairville Granite, as well as similar ages for a syenogranitic pluton and the Dipper Harbour volcanic unit, suggests that these units represent early stages of magmatism in the Golden Grove Plutonic Suite.
FR:
Les plutons du Cambrien et des périodes les plus anciennes du Néoprotérozoïque à l'intérieur du terrane de Brookville dans le Sud du Nouveau-Brunswick sont désignés sous le nom de « cortège plutonique de Golden Grove ». On y distingue quatre groupes en fonction de leur composition : ceux à base de gabbro (deux plutons), de diorite - granodiorite (17 plutons), de granodiorite - monzogranite (huit plutons) et de syénogranite - monzogranite (sept plutons). Les plutons dioritiques à granodioritiques et la majorité des plutons granodioritiques à monzogranitiques forment des tracés linéaires sur les schémas de diversité de la composition chimique, ce qui laisse supposer que l'évolution magmatique a été dominée par une cristallisation fractionnée des plagioclases et des amphiboles. Ces plutons semblent constituer un cortège calco-alcalin intrusif typique, caractéristique des zones de subduction de la marge continentale. Cette interprétation est corroborée par la datation au U-Pb, obtenue à partir de zircon, qui révèle que ces plutons ont des âges entre 540 Ma et 526 Ma. Une nouvelle datation au U-Pb obtenue à partir de zircon situant à 539,6 ± 1,2 Ma l'âge de l'un des plutons gabbroïques, signale que les plutons gabbroïques sont cogénétiques avec les plutons dioritiques à granitiques, même s'ils présentent des compositions ultramafi ques à anorthositiques et dioritiques diversifi ées par suite d'une accumulation de cristaux. Les plutons syénogranitiques à monzogranitiques et deux des plutons granodioritiques et monzogranitiques, de même que les roches volcanofelsiques de l'unité volcanique de Dipper Harbour, livrent des tracés chimiques différents des autres plutons du fait qu'ils possèdent les caractéristiques des plutons de type anorogénique. L'âge au U-Pb de 548 ± 2 Ma du granite de Fairville ainsi que les âges similaires d'un pluton syénogranitique et de l'unité volcanique de Dipper Harbour permettent de supposer que ces unités représentent les stades précoces du magmatisme à l'intérieur du cortège plutonique de Golden Grove.